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 SNOW&TEDDY ı j't'avais dit de plus faire de contrôle poitrine, t'es pas un mec tu vas t'écraser les miches !

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AuteurMessage
Teodor L. Morel-Azzaro

Teodor L. Morel-Azzaro

J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012
Parchemins : 122

L'Histoire de ma Magie.
mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons
crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir.
amis/amours/emmerdes:

SNOW&TEDDY ı j't'avais dit de plus faire de contrôle poitrine, t'es pas un mec tu vas t'écraser les miches ! Empty
MessageSujet: SNOW&TEDDY ı j't'avais dit de plus faire de contrôle poitrine, t'es pas un mec tu vas t'écraser les miches ! SNOW&TEDDY ı j't'avais dit de plus faire de contrôle poitrine, t'es pas un mec tu vas t'écraser les miches ! EmptyLun 30 Avr - 14:20

WHAT HAPPEND WHEN YOUR FIRST GAME ? Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! Moi, j’ai Snow-Lynn. DON'T REMEMBER. I TOOK A BLUDGER TO THE HEAD TWO MINUTES IN. WOKE UP IN HOSPITAL A WEEK LATER.

Une chose que j’aimais plus que tout, et ce depuis mes quatorze ans, c’était de traînasser dans les couloirs de Poudlard. J’adorais ça, quand j’étais en première ou deuxième année, de dépasser les règles, de sortir après le couvre-feu, d’aller un peu batifoler à gauche, à droite, avec mes premières petites amies. C’est pour ça que mon poste de préfet-en-chef n’était pas tous les jours évident à assumer. Bien sûr, j’étais en dernière année et, mis à part mes camarades de classe, personne ne m’avait connu durant ma première année à Poudlard, mais quand je faisais mes rondes de nuit, j’avais toujours ce pincement au cœur à devoir enlever des points (et engueuler, par la même occasion) les petits jeunes qui prenaient du bon temps comme j’avais l’habitude de le faire « à leur âge ». Je me sentais hypocrite, un peu à leur dire ‘faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais’, mais pourtant la direction de l’établissement avait jugé que j’étais la personne la plus qualifiée (ou du moins la deuxième la plus qualifiée) de tous les dernières années pour faire respecter l’ordre, et j’avais tellement aimé mon temps à Poudlard que je ne pouvais qu’honorer cette tâche que m’avaient confié les personnes qui s’étaient donnés à mon éducation pendant sept années. Car si il y avait bien une chose qui me caractérisait, derrière mon côté boute-en-train et leader, c’était le respect que j’éprouvais pour ceux qui m’avaient délivré d’une éducation trop stricte et à l’ouverture d’esprit la plus restreinte qu’il soit. Être ici, à Poudlard, c’étaient bien plus que de simples études de potion ou de sorts. C’était pouvoir vivre à sa façon, tout en ayant tout le confort mérité, et ce dans le seul but de donner aux étudiants toutes les possibilités pour le futur. Si j’avais passé cette adolescence avec mon père, comme j’avais passé mon enfance, au lieu de progresser en école de magie, j’aurais suivi la voie déjà toute tracée par mon père. J’aurais exercé la même profession que lui, c’est à dire commerçant international. J’aurais peut-être eu le loisir de choisir une vocation un tant soi peu différente, étudier la politique, le droit, ou quelque chose du genre, mais jamais je n’aurais découvert ma passion pour la fabrication des baguettes. Poudlard était un paradis pour moi, et jamais je ne leur serais suffisamment reconnaissant.

C’est en particulier la maison des Poufsouffle que je me dois de remercier, car c’est là-bas que j’ai vécu pendant sept ans. Vous savez, la première année, on voit plutôt ça comme un camp de vacances. Mais dès la seconde, on retrouve la même chambre, les mêmes copains, les mêmes copines, et tout le foyer auquel nous étions habitués. Alors au cours des années, le rapport s’inverse et c’est Poudlard qui devient notre vraie maison ; alors que l’endroit de notre enfance devient plus notre résidence secondaire, là où on passe l’été. C’est là où on finit par se trouver notre propre famille, et cette famille, c’est notre maison. Bien sûr, on a plus d’affinités avec certaines personnes, mais c’est généralement toujours les rouges avec les rouges, les verts avec les verts, les bleus avec les bleus et les jaunes avec les jaunes. J’avais mes préférences, moi aussi, et ce depuis mes premiers jours à Poudlard. Ils étaient mes camarades de classe, mes coéquipiers, mes vrais amis. Je me réveillais dans une chambre, entouré de quatre autres garçons de mon âge, tous des Poufsouffle. On mangeait tous ensemble, à la grande table des jaunes, puis c’est avec eux que je me dirigeais aux cours. Après ça, j’avais mon temps libre, que je passais bien souvent à préparer mes ASPIC (surtout maintenant que la fin de l’année arrivait à grand pas, et avec ça la fin de mes études) et puis venait l’heure du souper. Encore une fois entre nous. C’était inévitable que nous tissions des liens indissociables. Car, même le week-end venu, nous nous entraînions pour les matchs de Quidditch. J’étais le capitaine de l’équipe, cette année, et ma rigueur légendaire nous forçait à redoubler d’efforts. Deux entraînements par semaine, parfois trois, et ne parlons même pas des semaines de match. Je menais mon équipe à la dure, et il n’y avait surtout pas intérêt à avoir de conflit entre nous, sinon l’ambiance aurait quelques ratés.

Mon équipe, je l’avais constituée moi-même. C’est pourquoi, lors des sélections, je m’étais senti un peu tiraillé. J’avais mes amis de toujours qui se présentaient, et bien moins de places à fournir. Le plus gros conflit d’intérêt avait été de voir que Snow-Lynn se présentait. Snow, c’était un peu ma première histoire d’amour. Quand elle est rentrée en première année à Poudlard, je l’ai directement repérée. Nous avons commencé à « sortir ensemble » peu après nous être rencontré, car tous deux commencions déjà à ressentir une grande affection. Cette affection s’est peu a peu transformée en sentiments, de plus en plus fort, et notre couple était déjà idéal. Nous avons passé nos premiers mois sans arrêter les contacts ; toujours à se cajoler dans la salle commune, à se prouver notre amour par de petits gestes de tendresse. Peut-être paraissions-nous niais aux yeux des autres, mais nous étions plus qu’enviés, par les plus jeunes comme les plus grands, et ça, c’était visible. Notre relation, elle était mûre et sans chichis ; on n’était pas en train de rougir ou de bégayer quand nous étions ensemble, à essayer de se voiler la face ou bien encore à hésiter pour s’embrasser. Tous deux, nous savions que nous nous aimions. C’est pourquoi nous avons fini par consumer notre amour lors de l’année suivante. Cela faisait plus d’un an que nous étions ensemble, et il était clair que nous nous étions tous deux attachés l’un à l’autre. La puberté s’était faite entendre, nous avions tous les deux cette envie qui nous pressait, c’est pourquoi aucun regret n’est apparu après cet instant que nous avions vécu. Toute cette année-là, nous l’avons encore passée ensemble. Mais le deuxième été qui s’est écoulé s’est bien moins passé que prévu, si bien qu’à la rentrée, nous nous sommes mis d’accord sur le fait que nous n’avions plus aucun avenir. C’était un peu bizarre au début, quand on se retrouvait dans la même pièce. On s’échangeait quelques regards, comme si on ne savait pas trop comment agir. On avait tellement eu l’habitude de se retrouver souvent ensemble que notre complicité nous manquait. C’est pourquoi on s’est vite rendus compte qu’on ne pouvait pas vivre l’un sans l’autre, mais qu’on ne pouvait pas être ensemble non plus. On a décidé qu’on arrêterait les câlins, et notre complicité s’est réinstallée d’elle-même. Et voilà des années que Snow et moi, nous passons des heures ensemble à déconner, que je l’aide à faire des devoirs, qu’elle se moque de moi quand je lui demande des infos sur des objets pour mon cours d’étude des Moldus. Nos deux années de couple nous ont permis de nous rendre compte qu’elle et moi, nous étions fait pour être ensemble à tout jamais, mais pas dans le sens que nous pensions. Pour moi, Snow était la meilleure amie que j’avais jamais eue. C’est pourquoi la voir se présenter aux essais de Quidditch avait été une dure épreuve. Et c’est pourquoi voir qu’elle assurait bien plus que les autres m’avait soulagé ; je n’aurais pas à la recaler, et surtout personne ne crierait au favoritisme ; c’était clair qu’elle était la meilleure poursuiveuse que j’avais vue à Poufsouffle depuis des années.

Cette équipe, que j’avais dû monter de toutes pièces, je sentais qu’elle pouvait nous mener jusqu’à l’obtention de la coupe. On était bien partis, cette fois, pour gagner cette compétition, réécrire l’histoire de l’équipe de Quidditch de Poufsouffle qui avait longtemps été sous-estimée. J’avoue que réussir cet exploit était presque plus important, à mes yeux, que l’obtention de mon diplôme, et je préférais souvent sacrifier du temps libre de mes études pour sortir avec l’équipe et nos balais lors d’un entraînement matinal. C’était notamment le cas aujourd’hui ; il était tôt, six heures du matin, et j’avais prévu cette session depuis maintenant une semaine. Le dernier match de l’année allait voir le jour dans une petite semaine et il n’était pas tant que l’on néglige nos entraînements. L’équipe avait posé des réclamations, surtout au niveau de leur degré de fatigue, mais je n’avais pas plié. Pour moi, il était indispensable de s’entraîner un maximum, et le moment le plus propice à cela, c’était le matin, avant même le petit déjeuner. C’était aussi bien plus facile de trouver le terrain libre le matin que de le réserver l’après-midi. Ça, être dur et sévère, c’était totalement dans mes cordes. Je les voyais déjà tous arrivés, la gueule jusque par terre, tirant nonchalamment leurs balais derrière eux, alors que j’avais déjà enfourché mon éclair de feu. Je faisais des petits tours autour d’eux, m’exprimant haut et fort. « Ben alors les gars, c’est quoi cette motivation ? C’est pas avec cette rigueur qu’on va battre les Serpentards la semaine prochaine ! » Ma batte en main, je l’agitais devant eux pour éveiller leurs réflexes. C’était très énervant, probablement, je l’admets. Peut-être allaient-ils même me détester pour les avoir fait se lever de si bonne heure. Mais il était inadmissible pour moi de ne pas travailler d’arrache-pied ; nous étions sur la corde raide au niveau du classement et seule une victoire pouvait nous assurer d’avoir nos chances pour la première place. Le match qui suivrait, c’était Gryffondor contre Serdaigle, et là aussi, le score du match donnerait lieu à notre victoire ou à notre défaite. Mais là, c’était surtout à nous de nous mettre en avant. Je voulais cette victoire, je voulais cette coupe, je voulais mon nom pour qualifier la redressée des Poufsouffle à la victoire. Et même si mon équipe traînait des pieds, j’en voyais une qui avait le même objectif que moi, déjà en scelle sur son balais, son Souafle sous le bras, déjà en train de faire le tour des goals. C’était une bonne mentalité, et bien évidemment, c’était Snow.

J’ai décidé d’accorder quelques minutes aux autres pour s’asseoir sur leurs balais, et pendant ce temps, j’ai filé à toute vitesse pour intercepter le Souafle de Snow, histoire de la frustrer un peu, elle aussi, même si elle paraissait indémontrable. « En voilà enfin une qui m’écoute, c’est pas du luxe. » Si les autres continuaient à nous regarder avec des yeux de merlans frits au lieu de venir nous rejoindre, soit la veine de mon front allait exploser tant je m’époumonerais à leur gueuler dessus, soit j’allais jouer le match avec Snow uniquement. J’ai ralenti en m’approchant d’elle, pour enfin arrêter mon balais, action qu’elle concorda avec moi pour que nous nous trouvions côte à côte. Je lui ai tendu sa balle. « Je pense pas qu’on puisse aller très loin juste tous les deux, mais si les cinq autres ne se décident pas à bouger leurs culs, je vois pas d’autre solution. Je prends les goals et les cognards, toi tu marques les points et tu t’occupes du Vif d’Or. Ca devrait le faire. » J’ai « éclaté de rire », enfin, un petit peu. Je la voyais cernée, tout autant que moi, ce qui prouvait que nous étions tous deux marqués de la même fatigue. Alors pourquoi est-ce que les autres ne voulaient pas bouger ? Je les fixais, intensément ; Marshall s’occupait de détacher avec lenteur les cognards pendant que les autres se frottaient encore les yeux. « J’te jure, ils ont vraiment l’air de s’en foutre, ça m’en met un coup. » Les cognards venaient de se libérer et Marshall m’en envoya un. Directement, mes réflèxes déjà bien au taquet, je l’envoyai en pleine poire du gardien. « ALLEZ, SUR TON BALAIS ! Et les autres aussi, je veux pas le répéter, on a qu’une heure pour s’entraîner alors on va pas commencer à perdre du temps ! » L’avertissement était lancé, je les vis tous enfourcher leurs bolides et se mettre à leurs tâches. Nous partions tous de nos côtés, Marshall et moi testant tous les deux notre précision en faisant passer les cognards dans les buts adverses pendant que les poursuiveurs essayaient d’enchaîner le gardien. J’aimais mieux ça.
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