berlioz ▲ (smash my heart)

**J'ai reçu ma lettre le** : 14/04/2012 **Parchemins** : 2

parchemin de

berlioz prague prewett

“ i'm as radiant, as the sun ”

Je me présente, je m'appelle berlioz et j'ai 17 ans. Oui, parce qu'en fait, je suis né(e) le 23 avril à Cambridge. Sinon, je suis anglaise de pure souche. Je suis de famille sang-mêlée. En tant que sorcier, je possède bien-sur une baguette, "l'amour de ma vie", qui est constituée de bois d'énène contenant un ventricule de dragon et mesurant 29 centimètres. Mon Patronus a une forme de ouistiti. Concernant ma vie amoureuse, je suis célibataire, /i]. Depuis mes quatorze ans, je suis à Poudlard et maintenant je suis déjà en 4° année. Je suis un Poufsouffle. C'est une fierté que de faire partie de leur rangs. Dans ma vie antérieure je m'appelais Primrose, très joli nom n'es-ce pas.

just the way you are

uc

Présentez sous quelques phrases des points importants de la vie de votre personnages, cela peut être des traits de caractère, des tics, des manies & ect.

❝ J'aimerais redevenir une enfant parfois. Parce qu'il faut se l'admettre, un genou éraflé fait toujours moins mal qu'un cœur brisé. ❞

YOU KNOW I WISH THAT I HAD JESSIE'S GIRL. I WISH THAT I HAD JESSIE’S GIRL. WHERE CAN I FIND HER, A WOMAN LIKE THAT?”

« Berlioz baisse cette musique s’il te plait. »La gamine continuait à se déhancher sur cet air endiablé. Depuis ce matin, ce morceau résonnait dans toute la maisonnée et Elena en avait mal à la tête. Visiblement sa fille n’avait pas entendu sa remarque ou elle l’ignorait car Berlioz Prague Prewett continuait à danser d’une manière assez grotesque. “I’LL PLAY ALONG WITH THIS CHARADE. THAT DOESN’T SEEM TO BE A REASON TO CHANGE. YOU KNOW I FEEL SO DIRTY WHEN THEY START TALKING CUTE. I WANNA TELL HER THAT I LOVE BUT POINT IS PROBABLY MOOT”

“BERLIOOOOOOOOOOOZ”L’interpellée se figea, le bras gauche en l’air, la tête penchée vers l’arrière et la jambe droite pliée dans une drôle de position. Oz vacilla dangereusement puis tomba dans un grand « BAAAAM ». Comme toujours, Prague prouvait par ses actions qu’elle n’était pas très adroite. Vive comme l’éclair, elle se releva et en un bond et se retrouva face à sa stéréo qu’elle coupa in-extremis. Elle regarda sa mère avec une moue d’incompréhension. « Tu disais ? »

Elena regarda sa fille unique avec un air énervé.

« Mets moins fort, ça fait deux heures que tu passes ce morceau en boucle, on en a marre d’entendre cet air. »

« Pas de soucis, si tu veux je change de disque. »

“COME ON BOY. I’VE BEEN WAITING FOR SOMEBODY.TO PICK UP MY STROLL.”

Elena quitta la pièce, exaspérée, Berlioz Prewett était une obstinée de première. Elle avait décidé de mettre la musique à fond, pas moyen d’en découdre. Mais quand même…De la musique moldue .Elena n’était pas de ces sorciers qui discriminaient les nés-moldus en permanence, même si elle avait adopté, ainsi que son mari, une position pro-ministérielle, elle n’en faisait rien. Tout ces idéaux lui donnait, en réalité, froid dans le dos. Contrairement à sa sœur Rowena qui prenait plaisir à brutaliser les nés-moldus, Elena avait seulement adopté cette position par intérêt pour sa famille. Elle ne désirait pas que quelque chose arrive à son mari, Benjamin ou encore à sa petite Berlioz. « Sa petite » Oz… Elle avait tout de même 17 ans. Elle était étonnante sa Berlioz. Prénommée Berlioz-Prague Prewett à l’origine, elle avait préféré transformer son nom en Oz. Berlioz-Prague faisait trop sérieux à son gout. Rieuse, sympathique, épanouie, maladroite, indépendante, toutes ces caractéristiques se rapportaient à elle. Elle était un petit rayon de soleil qui avait illuminé les jours tristes de ses parents. Quelque peu hystérique, elle pouvait parfois se faire passer pour une illuminée aux premiers abords, mais il n’en était rien ? Presque toujours de bonne humeur, elle ne sombrait jamais dans la mélancolie. Pas en public en tout cas ! Ses fréquentations étaient diverses et variées. Emrys Wales-Rhodes était son meilleur ami depuis pas mal de temps. Malgré le fait que Emrys soit un sang-mêlé et Oz une sang-pure, ils s’entendaient à merveille. Toujours fourrées ensemble, à parler à tord et à travers dans les couloirs. I-N-S-E-P-A-R-A-B-L-E-S. Les mauvaises langues disaient même qu’il se passait un truc malsain entre eux… Le joli brun et la roussette. Les garçons ne restaient pas insensibles aux charmes de cette jeune demoiselle. Mais Oz n’en avait cure. Elle attendait quelqu’un qui sache la comprendre, qui sache s’occuper d’elle, ressentir ses besoins. Elle considérait souvent les garçons de son âge trop immature en raison de la forte maturité qui l’emplissait. Certaines paroles de sa fille laissaient d’ailleurs Elena perplexe. Elle était si...Mure pour son âge. Autre surprise : malgré le fait qu’Elena et son mari Benjamin soient d’anciens Gryffondors, la jeune Berlioz s’était démarquée d’eux en se faisant admettre chez les Poufsouffle. Elena la soupçonnait en secret d’avoir demandé au choixpeau de ne pas l’envoyer chez les Gryffons. Mais tout cela n’était qu’une hypothèse. Elena et son époux faisaient partie de la résistance. Son choix de paraître comme tel était un choix bien réfléchit. À vrai dire c’était son époux et elle étaient tout deux des sangs-purs, sa fille en était donc légitimement une. Mais ils préféraient mourir que de se ranger du côté de Voldemort. Elle, Elena Diggory était une sang-pur. Mais pour tout dire Berlioz-Prague s’en fouttait éperdument. Elle n’en avait rien à foutre du sang des autres. Elle n’en avait rien à faire si Emrys était un sang-pur ou bien encore un sang-mêlé. Cependant elle devait faire attention : étant de sang-pur et défendant les nés-moldu, elle était considérée naturellement comme une traitre à son sang, cela engendrait évidemment des représailles. C’est pour cette raison que Benjamin et Elena se marièrent. Tout d’abord car ils se connaissaient depuis leur naissance et puis car leurs familles en avait jugé ainsi. Il n’empêchait qu’ils s’aiment bien entendu. Berlioz avait eu une enfance assez heureuse, elle n’avait manqué de rien, l’amour de ses parents se ressentait en rentrant dans leur salon. Des dizaines de photos de leur petite famille étaient encadrées. Mais Elena et Benjamin s’inquiétaient de ne pas voir leur fille leur ramener un garçon à la maison. À 17 ans, eux étaient déjà fiancés. Pourtant Prague ne cessait de leur répéter qu’elle attendait le « bon ». En réalité Berlioz n’était pas du tout une fille facile. Son tempérament lui dictait de ne pas coucher à tout va et c’est ce qu’elle faisait. Oh bien sure elle avait eu quelque petits amis mais rien de bien sérieux. Ils finissaient toujours par la décevoir. Elle avait eu tout au plus trois histoire qui avait passé le cap des « une semaine ». En vérité, depuis quelque temps elle ne jurait plus que par un homme. Et cela risquait de ne pas plaire à Rys… Oh évidemment ce jeune homme ne partageait pas du tout ces opinions politiques… Mais depuis peu, un rapprochement s’était fait entre eux, si bien qu’il se murmurait qu’ils étaient en couple. Tout les séparent : lui pro sang-pur, elle amie des moldus. Lui chez les serpents, elles chez les pouffy. Les contraires s’attirent parait-il... La jeune Poufsouffle, pourtant farouche, ne trouve plus grand-chose à répondre aux répliques de son meilleur ami Emrys, qui ne semble pas à son aise de voir sa meilleur amie trainer avec un sang-pur. Serait-il un brin jaloux ? Berlioz n’aurait su répondre. Malgré les mises en garde de Rys qui lui répétait qu’elle aurait certainement de gros soucis, Oz continuait ce petit jeu plaisant. Mais ça Elena et Benjamin l’ignorait. Les pupilles d’Elena se posèrent sur sa fille. La fille du miracle on pouvait dire. Elena s’en souvenait encore comme si c’était hier…

REMEMBER THE PAST PART 1

« Je suis désolée Mrs Prewett, vous n’êtes toujours pas enceinte.» L’infirmière de Sainte-Mangouste avait prononcés ces mots sur un ton détaché, comme si elle avait peur de l’effet que pourraient avoir ses paroles sur la femme et l’homme assise devant elle. C’était déjà la troisième fois que ces gens venaient la voir cette année. Chaque fois la même réponse. À croire qu’ils étaient maudits. Les fois précédentes, Elena Prewett avait cru saisir des signes qui disaient clairement qu’elle était enceinte. Ces informations n’étaient évidemment pas véridiques. Cette fois ci, une prise de poids de cinq kilos en très peu de temps était la raison de sa venue. Le Pr Meers rassembla tout son courage, abaissa ses lunettes et laissa tomber sa plume. « Écoutez Elena, cela ne peut plus durer. Trois fois ! Par trois fois vous vous êtes présentées à mon bureau ! Je suis désolée mais vous semblez obsédée par l’idée d’enfanter. On ne peut pas continuer dans ce sens. Prenez des vacances, relaxez-vous, je ne sais pas moi ! Vous êtes tendue en permanence ! Prenez du bon temps et ne vous en faite pas, vous finirez par tomber enceinte ! Ce n’est peut-être juste pas le bon moment… » Mrs Prewett parut interloquée durant un moment puis se ressaisit et se leva de son siège. Ses paupières étaient lourdes tellement elle était abattue par l’échec qui venait une fois encore se présenter à elle. Elena Prewett, de son vrai nom Elena Diggory était une très belle femme aux longs cheveux de miel et aux yeux d’un bleu azur. Elle portait une longue robe de sorcier noire sous laquelle on pouvait deviner un corps superbe doté d’une paire de jambes qui en ferait pâlir plus d’une de jalousie. Son mari, assis à côté d’elle se prénommait Benjamin. Le Professeur Christy Meers le connaissait car à l’époque où elle était à Poudlard, elle avait eu le béguin pour lui. Environ un mètre quatre vingt neuf, large carrure, la crinière roux et les yeux dune magnifique couleur olive. Son regard brillait d’une lueur d’intelligence qui avait toujours attiré Christy. On pouvait aisément deviner que Benjamin était un grand adepte du sport en raison de sa carrure et de son nez, légèrement dévié depuis qu’il avait ramassé un cognard en plein dans la tête lors d’un match de Quidditch. Elena se leva de sa chaise, imitée peu après par Benjamin, elle tendit la main au professeur Meers qui la serra vigoureusement puis lança à la médicomage. « Merci pour vos conseils Professeur, bonne journée. »

THREE YEAR LATER . . .

« Félicitations Elena, c’est une magnifique petite fille. » Mrs Meers tendit le nourrisson à la mère épuisée. À première vue elle ressemblait plus à son père qu’à sa mère. Ses cheveux étaient roux avec quelques reflets d’or par-ci par-là. Cependant, elle avait des traits fins et doux, bien dessinés qui lui venait directement de sa mère. Quand à ses yeux… ? Et bien comme à peut près tout les nourrissons ils étaient bleus mais Elena était certaine qu’ils allaient virer dans des ton pers bien vite. Enfin le miracle tant attendu c’était produit. Elena en était tellement heureuse ! Après de nombreux essais infructueux, elle était enfin mère ! Benjamin entra à pas de loups dans la pièce. Il se pencha et découvrit le minois de la petite fille. De SA petite fille. « Tu veux l’appeler comment ? » Chuchota-t-il à l’oreille de son épouse ? Elena resta de longues minutes à contempler le visage de son enfant puis déclara. « Berlioz » Benjamin s’en étonna et rétorqua. « Comme ma mère ? Mais elle est très souffrante, je ne sais pas si c’est judicieux de prénommer notre enfant comme quelqu’un qu’elle ne connaîtra jamais…Moi j’avais pensé à Prague…Comme Prague Lawers, tu sais la sorcière extrêmement douée qui a... » Elena lui fit signe de se taire, les paupières de l’enfant commençaient à se fermer doucement sous le poids de la fatigue. « On à cas l’appeler Berlio-Prague et elle choisira elle-même… Il lui faudrait tout de même un dernier prénom car toutes les femmes de ma famille en ont trois. Regarde ma sœur, elle c’est Dalhia Frida Evana…Attends une minute ! Berlioz-Prague Dalhia ! Comme ça elle portera le prénom de sa marraine ! » « De sa marraine ? Je ne pense pas que ta sœur soit un bon choix, mais si t y tiens…Va pour Berlioz-Prague Dalhia Prewett. »

REMEMBER THE PAST PART 2

Berlioz avançait avec prudence sur le quai neuf trois quart, c’était son premier voyage dans le Poudlard Express et la gamine aux yeux de la couleur des olives était très impressionnée par l’allure du train qui était certes assez imposant. La gamine était assez anxieuse à l’idée de quitter sa mère mais surtout son père avec qui elle avait beaucoup de complicité. Ses parents étaient là, dans son dos, angoissés eux aussi. Ils se demandaient sûrement comment elle allait se débrouiller seule. Fille unique, Miss Prewett avait été entourée de tout l’amour dans elle avait besoin et parfois même surprotégée par sa mère. C’était sans doute normal vu qu’elle était l’ainé des deux enfants que comptait le couple Prewett. D’un pas lent, la rousse monta dans l’énorme train. Sa mère s’empressa de l’aider à monter son énorme valise dans me wagon et lui tendit la cage qui contenait son hibou. Pourquoi un hibou ? Pour pouvoir joindre ses parents régulièrement pardi! C’était une chouette effraie baptisée sobrement Hermès. Elena embrassa sa fille puis regagna le quai auprès de son mari, tout cela l’angoissait affreusement. Elle avait peur pour sa fille, peur qu’elle doive affronter des choses qui mettraient en péril son innocence. Elena se doutait bien que dans un petit moment la valeur du sang changerait totalement la donne. Et comme sa fille était «une traitre à son sang»… Il y avait de quoi s’interroger sérieusement. La gamine fit un dernier signe à ses parents depuis son compartiment puis se tassa dans son siège. Son compartiment était vide, elle était seule. Une odeur agréable de jus de citrouille flottait dans l’air. Oz sortit sa nouvelle baguette de sa poche. Vingt-sept centimètre et demi, bois d’aubépine et plume de phénix. Il y eu un bruit, comme un raclement et trois personnes entrèrent. « On…On peut s’assoir ? ». La rousse acquiesça d’un mouvement de tête. Il y avait deux filles et un garçon, tous empruntaient le Poudlard Express pour la première fois. Bien vite, les présentations furent faites et Berlioz, Bobby, Amélienne et Nirvana commencèrent à discuter de la maison dans laquelle ils désiraient être admis. « Moi ce serait Gryffondor ! » Décréta Bobby. « Pff Les Gryffondors sont des feignasses ! Moi j’espère entrer à Serpentard ! » Ainsi allaient les pensée d’Amélienne. « Il faut privilégier l’intelligence selon moi, Serdaigle serait l’idéal » Proclama Nirvana. « Et toi Oz ? Tu penses aller dans quelle maison ? »La fillette sembla réfléchir une dizaine de secondes puis dit «[color:9aa3=crimsonPoufsouffle ! C’est la meilleure selon moi ! Ce sont les moins arrogants, ils ne sont pas mesquins, eux au moins [/color]», elle jeta un coup d’œil à Amélienne. « Les moins casses-coups, ils ne prennent pas de risques inutiles », poursuivi-t-elle en lançant un coup d’œil appuyé à Bobby. « Et pour finir, ils ne se vantent pas d’être plus intelligents que les autres. » Les trois autres la regardèrent interloqués. À la sortie du train, quand enfin ils furent arrivés à Poudlard, les premières années furent dirigées vers des barques. Berlioz se retrouva en compagnie d’un garçon aux courts cheveux sombre et d’une fille à la longue chevelure blonde. « Jm’appelle Berlioz-Prague Prewett mais appelez moi Oz » Se présenta-t-elle. « Emrys, Emrys Whitaker-Hawkins » lui répondit le garçon. La fille, quant à elle, ne daigna pas de répondre. Lors de leurs voyages en barque, Oz et Rys firent plus ample connaissance, se découvrant ci et là quelques points communs. Une belle amitié promettait de naitre entre eux. Arrivés devant l’imposante porte de la Grande Salle, les deux gamines continuèrent de bavarder jusqu’au moment où un professeur leur demanda de cesser. « Aban Nirvana». La cérémonie venait de commencer. Le cœur d’Oz s’emballa, elle reconnut la fille désirant être répartie à Serdaigle. «[i] SERPENTARD » proclama le choixpeau. Prague- pouffa d’un rire moqueur. « Lowell Bobby ». C’était maintenant au tour du garçon qui désirait faire partie des Gryffondors. «GRYFONDOR». Lui au moins avait visé juste ! « Muroy Amélienne ». Elle s’avança, d’un pas mal assuré et manqua de tomber, ce qui arracha quelques rires à travers la salle. « GRYFFONDOR ». Elle aussi s’était donc trompée ! « Prewett Berlioz. » C’était à elle, Oz fit un signe de la main à Emrys pour lui dire au revoir et s’avança jusqu’à la chaise où on posa le choixpeau sur sa tête. Une fois répartie, des applaudissements s’élevèrent et Oz alla rejoindre ses condisciples. La cérémonie se poursuivit dans la joie et la bonne humeur mais Oz attendait quelqu’un en particulier. «Wales-Rhodes Emrys ». « Gryffondor " cracha le choixpeau. Oz lui sourit et lui fit un signe discret de la main. Ensuite vint le festin et il n’y eu plus beaucoup de paroles échangées.

REMEMBER THE PAST PART 3

Le soleil tapait sur la tête de Berlioz Prewett. Mais malgré la canicule, elle ne faiblissait pas. Vêtue d’un tee-shirt trop large, d’un short qui avait vécu et de baskets de sport toutes usées qui datait d’un autre âge, elle courait. Elle volait enfaite. Malgré son accoutrement, elle semblait pleine de grâce. Oz était âgée de seize ans et durant les vacances d’été elle entretenait sa condition physique. Elle vouait un culte au sport. Et même si la course n’était pas très pratiquée dans le monde des sorciers, elle s’y adonnait corps et âme. Pour maintenir sa condition mais aussi parce qu’elle adorait se sentir dépasser les limites que son enveloppe corporelle lui imposait. Elle n’était bien sure pas seule, son très cher père l’accompagnait dans son épopée. Cela faisait une demi-heure qu’ils couraient et ils ne faiblissaient pas. En secret une guerre était engagée. Celui qui lâcherait en premier. Celui qui craquerait en premier. Puéril ? Peut-être… Ou peut-être pas ! Quelles chances pouvaient avoir une jeune fille de seize ans contre un homme qui approchait de la quarantaine, en pleine forme ? Et bien justement, si cette fille s’appelait Berlioz-Prague Dalhia Prewett, elle avait toutes ses chances. Chaque semaine ils s’adonnaient à ce petit rituel. Leur esprit de compétition était sur-développer et ainsi, personne ne désirait laisser l’autre gagner. La dernière fois, il s’en était fallu de peu pour qu’Oz ne l’emporte. Ils étaient tout deux à bout de souffle à présent… Leur cadence, pourtant, ne faiblissait pas. Le front crispé dans une moue identiques, le père et la fille s’engagèrent dans un tournant. C’était le moment clé. Ils étaient tout deux à bout ! « C’est bon…Arrête…T’as gagné… » Le vainqueur observa le corps du perdant s’effondrer sur les pavés. Le perdant y était assis, l’air bougon. « Tu sais que tu es un très mauvais perdant Benjamin Prewett ? » Oz sourit d’un air triomphant. Pour la première fois elle l’avait vaincu. Elle était une battante qui ne reculait devant rien. « Et toi tu es la digne fille de ton père ». Lui rétorqua Benjamin en souriant. « Revanche Jeudi prochain, comme d’habitude ? ». «[color =Crimson] Je serai là. [» Lui répondit sa fille. Ensemble ils s’éloignèrent en trottinant. L’un comme l’autre était épuisés mais Berlioz-Prague était fière de sa performance. Elle était fière de ce qu’elle était. Et ça, même les détraqueurs n’aurait pas pu lui enlever.

PRIMROSE

Tu cours, toujours plus vite. Tu cours comme une bête traquée. Tes cheveux dénoués s’emmêlent dans les branches qui te fouettent le visage, tu n’en a cure. Tu ne penses qu’à courir loin. Tu voles, non… Tu planes. Le stress s’immisce au sein de tes entrailles. Il fait trembler tes petites jambes maigres. L’adrénaline a l’effet contraire. Tu transpires. Tu es essoufflée. Tu dois t’arrêter. Ta respiration est calmée, tu repars. La forêt est vaste et dense. Mais tu la connais comme ta poche depuis que tu es en âge de parler. Tes joues sont toutes éraflées, griffées jusqu’au sang par les viles branches qui ornent les ormes du domaine de ton père. Tu cours pour oublier. Pour oublier qu’il n’est plus là et qu’il ne le sera jamais plus. Tu ne te fais pas d’illusions. Dans quelques minutes tes parents te retrouveront et tu devras à nouveau faire face à son cadavre. Mais c’est différent. C’est toi qui l’as trouvé. Son corps, disloqué par la chute, son crâne défoncé, duquel découlait ce sang encore chaud, épais, poisseux, coagulé, ce sang qui salit encore tes mains. Tu ne pouvais pas en supporter plus, tu as pris la fuite lorsque tes parents, alerté par son dernier cri, sont arrivés sur les lieux de l’incident. Tu n’as eu que le temps d voir le regard d’incompréhension de ta mère, tu as couru et tu ne t’es pas retourné. Le vent souffle de plus en plus fort, la nuit tombe et les ténèbres t’enserrent. Est-ce le tout puissant qui te puni ? Punir pour quoi ? Tu n’as rien fait. Il est mort, c’est certain mais pas à cause de toi. Il est tombé d’une falaise. Qu’aurais-tu pu faire sinon crier au désespoir. Le souffle du vent te ralentit. Est-ce son nom que les courants d’air te murmure. Inlassablement, toujours ce nom, tel un murmure, qui revient. Ce nom que tu ne pourras jamais plus crier. Demyan

Louise

ϟ AGE : 16 ans
ϟ QUEL HIBOU T'A AMENÉ ICI ? : je sais plus *O*
ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : j'en bave encore
ϟ AVATAR : karen gillan
ϟ DOUBLE COMPTE : /
ϟ CODE DU RÈGLEMENT : :edit par cordy
ϟ UN PETIT MOT POUR LA FIN ? : what else?

**J'ai reçu ma lettre le** : 12/04/2012 **Parchemins** : 40

Bienvenue, je ne te souhaite pas bonne chance pour ta fiche puisqu'elle est super bien avancé. En tout cas tu as fait un super choix d'avatar.

**J'ai reçu ma lettre le** : 07/01/2012 **Parchemins** : 881

Bienvenuuuuuuuuue ici berlioz ▲ (smash my heart) 4285807314

Merci pour ton inscription berlioz ▲ (smash my heart) 4285807314

et si tu as besoin de quoi que ce soit nous sommes ici pour toi berlioz ▲ (smash my heart) 1139401285

N'hésite pas à parler du forum autour de toi plus on est de fous plus on rit berlioz ▲ (smash my heart) 3273821693

Alors j'ai lu ta fiche - qui est bien écrite berlioz ▲ (smash my heart) 69555998

- mais il y a quelques petits soucis berlioz ▲ (smash my heart) 4285807314

Citation :: Elena et son époux faisaient partie de la résistance. Son choix de paraître comme tel était un choix bien réfléchit. À vrai dire c’était son époux et elle étaient tout deux des sangs-purs, sa fille en était donc légitimement une. Mais ils préféraient mourir que de se ranger du côté de Voldemort. Elle, Elena Diggory était une sang-pur. Mais pour tout dire Berlioz-Prague s’en fouttait éperdument.

Il n'y a pas de résistance ici ni de Voldemort. Voldemort caca, donc on en veut pas ici Laughing