J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:30
parchemin de
teodor ludovic morel-azzaro
“ Dieu que cette fille à l'air triste, amoureuse d'un égoiste. ”
Je me présente, je m'appelle Teodor (mais appelez-moi Teddy) et j'ai vingt ans. Oui, parce qu'en fait, je suis né(e) le douze juin en Italie. Sinon, je suis international. Je suis de famille sang-pur. En tant que sorcier, je possède bien-sur une baguette, "l'amour de ma vie", qui est constituée de bois de vigne et d'une griffe de sphinx, et elle mesure 23 centimètres. Mon Patronus a une forme d'un mustang, cheval sauvage américain. Concernant ma vie amoureuse, je suis célibataire. Depuis mes quatorze ans, je suis à Poudlard et maintenant je suis déjà en dernière année. Je suis un poufsouffle ! C'est une fierté que de faire partie de leur rangs. Dans ma vie antérieure je m'appelais Dorian, très joli nom n'es-ce pas.
just the way you are
C'est un garçon plutôt graaaand, assez blond Ҩ Teddy est le gars le plus passionné de l'histoire de la passion. Quoi qu'il aime, il s'y donne jusqu'au bout. Ҩ Il règne en maître sur l'équipe de Quidditch de sa maison depuis deux ans maintenant, et espère les mener à la victoire cette année. Ҩ Sa vocation pour le futur ? Il a toujours voulu conduire le Poudlard Express. Sa famille le voit plutôt Aurore ; ils ont suffisamment d'ambition pour que lui n'en ait pas. Ҩ Un peu concoooooooon Ҩ il a toujours aimé ce qui touchait à la mécanique magique. fabriquer des baguettes, ça lui irait plutôt bien. Ҩ cependant, il a beaucoup trop la flemme que pour faire des recherches sur comment accéder à la profession. Ҩ Teddy, c'est le rôle secondaire. On ne peut pas s'en passer quand il n'est pas dans la pièce, mais une fois qu'il est là, il passe tout de même après les autres. Ses histoires n'intéressent que très peu de monde, simplement parce qu'il se prend bien moins la tête que ses potes. Ҩ Tombeur de ces dames, son accent franco-italien les a toutes faites tomber au moins une fois. Bien qu'étant jaune, il est "le" type en vue de Poudlard de l'année. Ҩ Sa famille est plutôt conservatrice. Plutôt beaucoup. Ҩ Son statut de sang et le non-progressisme de ses parents l'ont empêché de fréquenter des moldus (et une majorité de sang-mêlés) pendant son enfance. Arrivé à Poudlard, il a découvert un autre univers. Ҩ Teddy fume comme un pompier. Ҩ Teddy est relativement porté sur la boisson - en tout cas durant les fêtes de familles... Et le week-end. Ҩ Teddy est facileeeeeee, facile en amitié comme facile à mettre dans un lit. Ҩ Il n'a jamais eu aucun flash-back de sa vie antérieure. D'ailleurs, il ne croit pas en ce qu'il appelle ces "conneries". Ҩ Son éducation aristocratique a fait de lui un parfait gentleman. Ҩ Et il danse comme un Dieu, aussi. Ҩ Je précise que Teddy ne fait pas partie des consommateurs de ce qu'on appelle "l'herbe magique". Ҩ Il n'aime pas jouer de son physique, parce qu'il trouve ça trop facile. Il préfère amuser les filles. Ҩ Sa simplicité d'esprit le rend merveilleux ; il ne ment pas : il ne devient pas ami avec une fille qu'il aime, il ne fait pas semblant d'aimer une amie. Il ne se pose pas de question mais ressent les choses. Ҩ Il n'a aucune rancune.
Anouck ı junk
ϟ AGE : 17 ϟ QUEL HIBOU T'A AMENÉ ICI ? : STOUUUUU ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : écrire ici ϟ AVATAR : MagicMax Irons. ϟ DOUBLE COMPTE : aaaah non ϟ CODE DU RÈGLEMENT : CODE BON. ϟ UN PETIT MOT POUR LA FIN ? : chatte.
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:30
❝ No more talking, let’s dancing! ❞
« Oh ciel, son nez ! Vous avez vu son nez ? » Petit éternuement. « Aaaah, c’est mieux ! » « hein ? » dès ma naissance, j’étais un original. Un bébé original dans la famille la plus conformiste du monde, qui s’approchait du cliché aux plus intimes de ses frontières. J’avais autour de moi quatre grands parents, deux parents – dont une mère en nage totale – et un petit cousin, qui devait avoir approximativement deux ans de plus que moi (je ne savais pas encore trop estimer, à l’époque). Un guérisseur me coupait l’excroissance qui me reliait à la génitrice à l’aide de sa baguette et moi, ben j’ai commencé à hurler. Bon, il va sans dire que je ne me rappelle pas vraiment de tout ça, mais c’est la représentation que je me fais de ma naissance, se basant sur l’inconscient collectif et les anecdotes que l’on m’a raconté. Les premiers signes de ma capacité à la métamorphose. « Métamorphomage », c’est un des premiers mots que j’ai réussi à dire (enfin, un des premiers mots compliqués, j’entends), mais c’est aussi le fait original qui m’a le plus amusé durant toute ma vie. Quand on naît dans une famille comme la mienne, on n’a pas d’autre choix que de se plier à leurs règles. Enfin, un petit garçon normal n’aurait pas eu d’autre choix. Mais moi, c’est ce détail – plutôt imposant, quand même – qui m’a permis de me démarquer du reste. Mon originalité, mes parents prenaient ça comme un handicap, et de ce fait ils avaient plus tendance à me laisser « tranquille ». La bourgeoisie magique florentine n’aimait pas les Métamorphages, mais comme je portais le nom d’Azzaro, ils n’avaient d’autre choix que de m’accepter dans leurs rangs. Ca aurait tout de même pu être pire. J’aurais pu être un Cracmol.
Mon enfance s’est passée entre deux Portoloins, toujours à vagabonder entre ma terre, l’Italie, celle de ma famille maternelle, la France, et là où tout sorcier se doit de passer du temps, Londres. Londres, en Angleterre, c’était l’endroit le plus hideux que je connaissais, quand j’étais petit. Il n’y avait jamais de soleil, les rues sentaient mauvais, sans oublier que ça grouillait de sorciers mal intentionnés. Cependant, la profession de mon père – commerçant international de nouvelles technologies sorcières – l’obligeait à se rendre fréquemment dans ce centre sorcier, et comme il n’aimait jamais être éloigné de son fils, je le suivais bien souvent. C’était lui qui se chargeait de mon éducation, et cela était depuis des siècles, de père en fils, chez les Azzaro. Ainsi, il m’inculqua les mêmes valeurs que possédait son arrière-grand-père. J’admets que cette méthode peut paraître archaïque. D’ailleurs, je ne compte pas perpétuer cette tradition qui peut paraître ancestrale, mais on s’en fout. Quand j’avais trois ans, je ne trouvais pas encore injuste que mes parents me coupent du monde de façon à ce que je ne fréquente que mes semblables. D’ailleurs, j’avais quatre ans lorsqu’on a commencé à me parler de Moldus. Vous savez, vous pouvez entendre un mot cinq cent fois avant qu’il ne sonne vraiment à votre oreille. C’est le type de mots que vous entendez dans les conversations des grands, dont vous ne connaissez pas la définition. Puis un jour, il a un tintement différent, alors vous tirez sans grâce la manche de la robe de votre papa pour lui demander ce que ça veut dire. C’est rarement le moment de l’interrompre, mais il prend sur lui et vous donne une brève explication, qui pourtant vous chamboule pour toute votre vie. « Un moldu, Teddy, c’est une personne incapable. Incapable de faire de la magie. » Je n’avais même jamais pensé que quelqu’un – mis à part les Cracmols – pouvaient être incapable de faire de la magie. Comment faisaient-ils, alors, pour éclairer une pièce ? Pour réparer ce qu’ils cassaient ? C’était plus que surréaliste de penser que cela pouvait exister. En tout cas, moi, j’aurais pas voulu être à leur place.
Les années de mon enfance se sont très vite enchaînées. J’apprenais, à l’aide de mes parents, à maîtriser les trois langues les plus communes de l’Europe : le français, l’italien et l’anglais. Mes langues maternelles ainsi que celle qui allait le plus me servir, me disaient mes parents, étant donné que j’étais voué à étudier à l’école de magie de Poudelard. Je me demandais pourquoi je ne pouvais pas aller à Beauxbâtons avec mes cousins français, c’aurait été beaucoup plus simple, encore plus près de la maison, mais mes parents – enfin, mon père, surtout – pensaient que l’enseignement de Poudlard était le meilleur de la planète. Là-bas se trouvaient les meilleurs cours assurés par la crème des enseignants. Depuis que j’avais appris l’existence de cette école, je n’attendais que le jour où le fameux hiboux – qui allait devoir parcourir une sacrée distance, le pauvre – rentrerait par la cheminée pour me donner ma lettre. La lettre. Et c’est en ce jour de début d’été, alors que je venais tout juste de fêter mon treizième anniversaire, qu’elle est arrivée. J’ai sauté de joie, et ma mère s’est empressée de me faire la remarque. « Tiens toi correctement, Teodor ! » Froide et hautaine, elle s’adressait à moi en français et m’appelait par mon prénom complet, même si elle savait que je détestais ça. Mais je n’en avais cure. Mes cheveux venaient de prendre dix centimètres vers le haut et de se teinter en vert, j’ai agrandi ma bouche pour lui faire le plus grand des sourires que je pouvais, puis je me suis empressé de saisir ma lettre. Blablabla. C’était fait, j’y allais !
Quand je suis rentré, l’été, à Florence, pour revoir mes parents après une année quasi entière sans les voir, ils ont été surpris. Mes cheveux étaient en bataille, la ligne côté gauche avait disparu ; mon pantalon tombait en dessous de mes fesses, comme tout gamin de quatorze ans. J’arborais fièrement des fringues Moldues, ceux-ci étant devenus mes amis (alors que je n’en avais approché qu’un ou deux sur les précédentes années de ma vie), je fumais comme un pompier et, pourtant, j’étais bien plus épanoui que jamais. Mais ça, mes parents n’ont pas été aptes à le comprendre. Je ne dirais même pas qu’ils n’ont pas été capables de le comprendre directement étant donné qu’ils ne l’ont jamais compris. Ils me toisaient comme si je n’étais plus leur fils. Surtout ma mère, en fait, qui m’avait toujours vu comme la copie conforme de tous les Azzaro des générations précédentes. Quand elle me regardait, je voyais la déception au fond de ses iris. J’allais de mauvais point en mauvais point, je ne faisais que la décevoir, et ce depuis les premières secondes de ma vie, quand elle a vu que j’avais cette petite « anomalie ». Quand j’étais un petit gosse, je vivais assez mal cette distance entre ma génitrice et moi-même, mais mon père compensait par beaucoup d’affection. Je parle bien d’affection, un câlin par-ci, une tape sur l’épaule par-là. Je ne parle pas vraiment d’amour. Cette notion, je ne la connais pas comme les autres enfants la vivent. Mes parents, à mon égard, ont toujours maintenu cette distance aristocratique de base qu’il existe entre tout gamin de mon milieu et ses propres « darons » (dans le jargon actuel). En gros, ils sont des machines à sous, je suis l’espoir et le visage jeune de leur réputation, et puis c’est tout. C’est pourquoi voir débarquer par la cheminée un garçon tout débraillé, digne d’être confondu avec n’importe quel Moldu de base, ça leur filait un sacré coup. Et c’était ce que je voulais. Parce qu’évoluer pour ma première année dans cette école de magie m’avait ouvert l’esprit d’une façon totalement exponentielle. J’avais découvert en moins d’un mois des centaines de détails sur la vie Moldue, et, devinez quoi, j’adorais ça. J’étais passé du gosse qui ne concevait pas comment vivre sans la magie à l’ado qui voulait tout faire comme eux, rien que pour avoir la satisfaction de s’être débrouillé. C’est comme si on bandait les yeux à un pianiste. Une contrainte pour avancer dans la vie. Donc, mes deux mois de vacances se sont passés entre des prises de tête et une impatience folle de ma part – comme probablement de la leur – de me voir repartir pour ce qui était mon nouveau foyer.
ıııı
Deuxième été. L’année s’était passée encore dans le même type de rengaine. J’avais redécouvert le Quidditch en tant que compétition, sport que je pratiquais depuis l’enfance comme passe-temps. Avoir une batte dans les mains, c’était ce que je préférais comme sensation. Bien sûr, un deuxième année un peu gringalet, ça passait assez mal dans l’équipe, mais le capitaine actuel m’avait dit de retenter les essais pour la rentrée, que la place se libérerait. Alors, j’avais a peine réouvert ma malle sur le lit King-Size de ma chambre à haut plafond de la résidence de Florence que j’étais déjà parti dans le jardin, enfourchant mon Nimbus 2001, pour voler comme je l’entendais. Je me sentais libre, dans les airs. J’avais à peine glissé un mot à mes parents pour les saluer. Ce n’est qu’au repas du soir, qui réunissait toute ma famille, que nous avons eu notre conversation. « Bon, Teddy. Raconte-nous tout. Et assez parlé des cours, hein. Je parle des amours. » C’était le grand-oncle Enzo qui finit par poser cette délicate question. J’ai un peu rougi. « Enfin Enzo, il n’a peut-être pas envie d’en parler ! Laisse-le tranquille. » De toute façon, il fallait bien que je finisse par le faire… Un jour ou l’autre. Non, j’ai pris mon courage à deux mains, me disant que ça serait mieux le plus tôt possible. Moi, je l’acceptais comme elle était, simplement parce qu’elle était exceptionnelle. Ils n’auraient qu’à faire de même. « Non non, t’en fais pas maman. Ouais, euh, j’ai une petite amie, en fait. J’espérais qu’elle pourrait venir passer quelques jours ici durant le mois d’Août… Si vous voulez bien, enfin. » J’ai vu mon père étirer un sourire large jusqu’aux oreilles. Je me doutais qu’il n’avait pas la moindre idée de ce qui allait venir s’annoncer un peu plus tard. « Waah ! Comment elle s’appelle ? Nom de famille ? On doit probablement la connaître, les vraies familles ne courrent pas les rues… » Ils n’avaient même plus aucune décence pour parler de ce qu’il aimait appeler notre « supériorité », ça me dégoûtait. « C’est une Hurtlake. » Silence. Personne ne connaissait. « Ben en fait, euh… Elle est née Moldue. »
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Au troisième été, je suis rentré à la maison, mais plus tout seul, cette fois. Et au grand malheur des fanatiques Poudlariens de notre couple, ce n’était pas avec Snow que j’étais là, mais avec une autre fille. C’était Phoebe, une nouvelle, fraichement débarquée à Poudlard, et qui pourtant me ressemblait sur une quantité de points. Déjà, c’était la seule avec qui je pouvais passer les vacances scolaires à traîner dans la Grande Salle et avec qui je pouvais parler en un italien fluide et parfait sans qu’elle ne m’arrête pour me demander ce que ça voulait dire. Elle venait de Florence, tout comme moi. Ensuite, on avait des petits trucs. C’était ma nouvelle découverte de l’année, probablement la plus belle, et malgré le fait que je sortais avec Snow, je passais une masse de temps avec elle à discuter de tout et de rien. La seule contrainte, encore une fois, c’était qu’elle était née Moldue, tout comme Snow. Et autant l’été passé s’était déroulé en grand froid familial – encore une fois – simplement parce que j’avais annoncé que je fréquentais (assez intimement, quand même) une Moldue, nous avions dépassé le cap quand j’en avais faite rentrer une à l’intérieur de notre maison. Mon père, avec beaucoup de compassion, avait réussi à convaincre ma mère de la laisser dormir dans la chambre d’ami. Je ne sais toujours pas quel miracle l’en a persuadé, mais il a accepté Phoebe après que je lui aie raconté son histoire, l’absence de ses parents et son manque de revenus ; ainsi que mon affection pour elle. J’avais beau être un troisième année, faire partie de l’élite de Poudlard et être le deuxième batteur de l’équipe de Quidditch de ma maison, notre différence de « niveau », encore une fois, m’importait peu. J’avais cette connexion avec Phoebe qui ne m’unissait qu’à très peu de monde, et c’était très bon de passer du temps avec elle. Elle était ma meilleure amie.
On s’est vus énormément, cet été-là. Après avoir passé quelques semaines chez moi, elle était retournée chez sa grand-mère, mais je passais souvent la chercher – de manière civile et non par la cheminée, de peur de heurter sa Moldue de Nonna. On est rentrés par le même Portoloin à Londres, quelques jours avant d’embarquer pour le Poudlard Express, et on est allés faire nos courses ensemble, pour la rentrée. Nous avions pris une chambre avec deux lits au Chaudron Baveur (je ne précise tout de même pas que je l’invitais). Le dernier jour, avant de nous diriger vers King’s Cross, je l’ai suppliée de passer avec moi chez Olivender, le fabriquant et vendeur de baguettes, premièrement parce qu’il était un vieil ami de mon père (qui faisait souvent affaires avec lui) et deuxièmement parce que les baguettes étaient ce qui m’intéressait le plus dans le monde de la magie. En faire ma carrière, c’était tout ce qui me passionnait, et ça, Olivender le savait très bien. Il prenait toujours plaisir à me voir arriver chez lui, me laissant utiliser divers bois, me laissant palper des ventricules de dragons, et tout ce qui va avec. Mais le fait que Phoebe soit là, ça a eu l’air de l’estomaquer. Il m’a regardé. Je l’ai regardé. Phoebe m’a regardé, il a regardé Phoebe, j’ai regardé Phoebe, Phoebe l’a regardé. Il a regardé dans le vide. Puis il a fini par prendre une grande inspiration et rire un bon coup. « Euh… Monsieur ? Vous allez bien, Monsieur ? » Il ne se rattrapait pas. Autant elle avait l’air inquiète par la soudaine crise de folie du vendeur, autant je me mis à sourire tant son rire était communicatif. Il finit tout de même par se reprendre. « C’est dingue, quand même, de se retrouver comme ça, non ? » « Euh, je suis pas sûr de vous suivre, là… » Il nous a toisé, encore une fois, et l’échange de regards dura un peu plus longtemps que le précédent. « Mais… Vos baguettes, voyons ! Enfin, Teddy, un passionné comme toi ne l’a pas remarqué ? Vous partagez la même griffe de Sphinx ! » J’ai écarquillé les yeux. J’ai regardé Phoebe, elle m’a regardé, Olivender essayait de capter nos regards mais il n’y arrivait pas. Je savais très bien ce que ça voulait dire, de partager une baguette de même essence. Cependant, je doutais que Phoebe le sache. Je n’y ai pourtant pas prété longue attention. Phoebe et moi avions des destins liés, et alors ? Je m’en doutais déjà. Retrouver une Florentine à Poudlard, c’était un bien plus gros signe qu’une simple griffe de Sphinx.
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Dès la rentrée scolaire de ma quatrième année, Snow et moi avons rompu. C’était d’un commun accord, premièrement parce que trop d’obstacles nous empêchaient de nous voir en dehors de Poudlard et la situation par rapport à ma famille devenait intolérable pour elle comme pour moi, deuxièmement parce que nos sentiments, à l’un comme à l’autre, commençaient à s’effacer. On a décidé de rester amis, et c’est comme ça qu’on a passé le reste de nos jours. Encore aujourd’hui, nous sommes à peu près les meilleurs amis de Poudlard. Enfin, plutôt très proches. On se taquine, on se chatouille un peu, on se connaît forcément par cœur alors plus aucune gêne n’existe entre nous. Mon ouverture d’esprit nous permettait d’effacer toute ambiguïté entre nous deux, et même si les rumeurs circulaient, nous deux, on savait qu’on était juste de bons amis. On traîne ensemble jusque pas d’heure dans la salle commune, on se vanne aux entraînements, c’est comme ça. C’est Snow et moi. Parlant d’entraînement, je suis passé capitaine de l’équipe de la maison. Parce que j’ai le charisme qu’il faut pour contenir une bande de brutes sur des balais, probablement. C’est un point de plus à ma popularité. Pour faire court, en parlant de ma famille, ils commencent à s’habituer à mes choix de vie. D’ailleurs, mon père a même accepté mon choix d’options (étude des Moldus), sachant qu’il n’était même pas nécessaire d’essayer de me faire tergiverser. J’avais décidé d’emprunter la voie que je désirais, et ils ne pourraient s’y opposer. Voilà.
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:31
Bienvenue ici Merci de ton inscription et si tu as besoin de quoi que ce soit on est là pour toi
Je kiffe ton titre il m'a bien fait rire
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:35
Merci beaucouuuuup Je prévois de bien m'amuser ici de toute façon, puis pour l'intégration ça devrait passer, et pour ce qui est de me débrouiller et dénicher les différentes parties, j'ai mon badge mais merci
Esméralda A. James
J'ai reçu ma lettre le : 19/04/2012 Parchemins : 41
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: Je n'y croyais pas ... jusqu'à ce que j'ai des rêves étranges. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:39
Bievenue ! J'adore ton pseudo et ton avatar James Franco est juste trop ... Trop.
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:39
Merci bien
Avalon Wood-Blackburn
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 117
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: Aucun évènement déclencheur n'a encore eu lieu, mais j'ai quand même peur que cela existe réellement ; j'ai malheureusement eu l'occasion de voir les dégâts que ça peut provoquer. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:40
MAHAHAHA ton titre est tellement vrai... Bienvenue parmi les fous nous. Hâte de voir ce que va donner ton perso.
G. Téonard Rosier
J'ai reçu ma lettre le : 22/01/2012 Parchemins : 128
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: j'y crois. j'ai des flashs, tout le temps. enfin, quand ELLE est là. ELLE ? je sais pas qui c'est. mais elle existe. la vie de ma mère. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:51
j'aime ton choix d'avatar, ton titre, ton avatar, le pseudo et le mot de la fin. bienvenue.
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:53
Eh ben merci alors à la réflexion, j'vais plutôt prendre Max Irons, parce que jouer un étudiant avec Franco c'est pas très très crédible
Avalon Wood-Blackburn
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 117
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: Aucun évènement déclencheur n'a encore eu lieu, mais j'ai quand même peur que cela existe réellement ; j'ai malheureusement eu l'occasion de voir les dégâts que ça peut provoquer. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:57
OH j'approuve totalement ton choix. Puis Irons il fait plus teddy bear que Franco. *out*
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 17:58
Argument en béton, j'adhère
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 18:45
J'ai reçu ma lettre le : 30/01/2012 Parchemins : 437
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 19:11
NOUUUUUUCKKKKKKKKKKKK puis TEDDYYYYYYYYYY. qu'elle me dit l'autre que c'est fini les forums HP tu gèreeeeeeeeee. tu vas voir ici c'est la valeur sur en plus avec ton Irons. j'suis contente que tu sois là en tout cas, tu me fais un beau cadeau. bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche
Cataleya P. Rhodes-Wheler
J'ai reçu ma lettre le : 26/01/2012 Parchemins : 86
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 19:34
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Lun 23 Avr - 21:17
Accueil à la Stou, j'aime çaaaaaa
Ok pour le sang pur, j'irai checker ça demain et merci Cat !
Darcee Y. Dubois
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 35
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Seulement la partie concernant la guerre, rien avant, ni après amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 10:04
Bienvenue bôgosse
Laserian K. Hemingway
J'ai reçu ma lettre le : 18/04/2012 Parchemins : 71
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Pas du tout, et ce malgré les flashs fréquents. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 13:49
Welcome pure blood mate !
Snow-Lynn T. Hurtlake
J'ai reçu ma lettre le : 30/01/2012 Parchemins : 437
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 13:52
Teodor L. Morel-Azzaro a écrit:
Accueil à la Stou, j'aime çaaaaaa
Ok pour le sang pur, j'irai checker ça demain et merci Cat !
qu'es-ce que tu crois (ça me fais penser à notre chace/mila )
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 14:16
Merci beaucoup
Tekitaaaaaaa qu'est-ce qui t'y fais penser en fait ?
Snow-Lynn T. Hurtlake
J'ai reçu ma lettre le : 30/01/2012 Parchemins : 437
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 14:21
le teddy manquerait plus que j'ai un personnage qui s'appelle nikita
Teodor L. Morel-Azzaro
J'ai reçu ma lettre le : 23/04/2012 Parchemins : 122
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Non, j'ai pas de souvenir. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 14:24
Chiche :Hanwi:
Snow-Lynn T. Hurtlake
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Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 14:28
tentant je te jure, mais j'sais pas mes deux perso' me prennent déjà tout mon temps (grosse PJ en ce moment ) faut se faire une histoire de fou
Teodor L. Morel-Azzaro
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Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 14:30
Rrh tu le connais j'ai pris de l'avance, notre lien est déjà tout tracé dans ma tête dans 30 minutes sur skype pour que je t'en parle ?
Snow-Lynn T. Hurtlake
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Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 14:36
Je m'en doutais ouaip parce que c'est toi (fin 45 minutes )mais je pourrais pas rester longtemps je fais une réponse là et j'en est une autre que j'ai promis pour soir-ce
Teodor L. Morel-Azzaro
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Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français. Mar 24 Avr - 14:39
Mouais, tu dis 45 minutes mais tu penses 1000
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Sujet: Re: Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français.
Teddy ı le reste du temps, il ne se passe rien. comme dans les films français.