sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice.
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Eurydice Becket-Hodgins
J'ai reçu ma lettre le : 12/04/2012 Parchemins : 34
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: il y a seulement des flashs, des flashs qui me perturbent. amis/amours/emmerdes:
Sujet: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 13:40
parchemin de
eurydice rosae emma becket-hodgins
“ sometimes vulnerability can be our greatest weapon ”
Je me présente, je m'appelle Eurydice Rosae Emma Becket-Hodgins et j'ai dix-neuf ans. Oui, parce qu'en fait, je suis né(e) le treize mai en bristol. Sinon, je suis anglaise. Je suis de famille sang-pur. En tant que sorcier, je possède bien-sur une baguette, "l'amour de ma vie", qui est constituée de bois de rosier, mesurant vingt huit centimètres contenant un crin de licorne. Mon Patronus a une forme de louve blanche. Concernant ma vie amoureuse, je suis célibataire. Depuis mes quatorze ans, je suis à Poudlard et maintenant je suis déjà en sixième année année. Je suis une serdaigle. C'est une fierté que de faire partie de leur rangs. Dans ma vie antérieure je m'appelais pénélope, très joli nom n'es-ce pas.
Kassandra & Kassou
ϟ AGE : 19 ans ϟ QUEL HIBOU T'A AMENÉ ICI ? : bazzart ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : ϟ AVATAR : lyndsy fonsesca ϟ DOUBLE COMPTE : nop ϟ CODE DU RÈGLEMENT : edit par cordy ϟ UN PETIT MOT POUR LA FIN ? :
Eurydice Becket-Hodgins
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Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 13:41
just the way you are
Cette jeune femme n'est autre que la belle Eurydice Rosae Emma Becket-Hodgins, rien que ça, elle est connue sous le nom d'Eurydice. Elle est née à Bristol, en Angleterre, ce qui fait d'elle une anglaise, elle a poussé ses premiers cris et pas les derniers, un vendredi onze mai en mille neuf cent quatre vingt douze. Elle n'est pas fille unique, à son grand désespoirs parfois, puisqu'elle a un petit frère, Jordan, âgé de dix ans. Elle se dit que c'est une bonne chose qu'il ne soit pas à l'école en ce moment. Son père est Jeremie Becket, employé au ministère de la magie, sa mère, Elisabeth Hodgins est médicomage à Sainte Mangouste. Elle est sang pure. Elève en sixième année à Serdaigle.
On dit d'Eurydice qu'elle est gentille, oui elle l'est. Ҩ sensible. Ҩ féministe. Ҩ douce. Ҩ drôle. Ҩ sarcastique. Ҩ loyale. Ҩ fidèle. Ҩ sceptique. Ҩ inquiète. Ҩ paradoxale. Ҩ franche. Ҩ généreuse. Ҩ romantique. Ҩ cultivée. Ҩ légère. Ҩ maligne. Ҩ téméraire. Ҩ posée, oui elle peut l'être, ne vous étonnez pas. Ҩ calme oui, quand elle dort et encore, elle a plus tendance à se battre avec ses oreillers et les jeter inconsciemment sur ses camarades de chambre, heureusement pour elles, elle a eut la bonne idée de se mettre un peu à l'écart afin d'éviter ce genre de problème. Ҩ mystérieuse, elle aime garder une part de mystère, elle n'aime pas dévoiler tout tous de suite. Ҩ complexe, qui ne l'est pas ? Ҩ gourmande, son moment préféré dans la journée c'est les moments des repas Ҩ douée. Ҩ cette jeune femme est une victime en amour, elle tombe souvent même tout le temps, amoureuse du mauvais garçon, elle ne peut s'en empêcher, elle est irrémédiablement attiré par eux, elle tombe amoureuse aussi facilement que l'on tombe d'une chaise. Ҩ elle a des idées bien arrêté sur tout, elle est têtue, quand elle pense quelque chose il est parfois difficile de l'amener sur sa voix, même compliqué, ayez l'habitude avec elle de vous prendre un mur. Ҩ elle est du genre à ne rien abandonné, quand elle a quelque chose en tête, elle essaye de parvenir à ses fins coûte que coûte, quand on la vire par la porte, elle reviendra par la fenêtre. Ҩ quand elle fait quelque chose, elle le fait en grand, tan pis si ça peut choquer, avec elle il ne faut pas.
Elle était autrefois la douce Pénélope Margaret Douglas. C'était une serdaigle, une née-moldue, elle n'avait qu'un oncle sorcier, du côté de sa mère. Elle était la plus grande des trois enfants de cette famille, elle était, elle fut rapidement la seule fille de la famille Douglas, sa mère et ses trois jeunes soeurs, Elea, Marie et Rose sont mortes dans un incendie, ce qui a fragilisé d'autant plus cette pauvre enfant. [i]Ҩ peu de gens la connaissait vraiment, elle ne montrait que rarement ses sentiments, mystère était son mot premier, elle ne voulait pas se révéler de peur de souffrir.elle ne montrait jamais ses sentiments. Ҩ elle était faible, naïve et influençable, même si elle ne voulait pas se révéler, elle tomber souvent dans les pièges. Ҩ si elle a été à poudlard, ce surtout par mesure de sécurité de la part de son père, elle a été admise à serdaigle, mais elle n'a fait que deux ans de scolarité dans cette école.Ҩ la fin de sa formation de sorcière lui a été donné par le seul membre sorcier de sa famille, son oncle, Richard. Ҩ elle nourrissait de grands-rêves.
Eurydice Becket-Hodgins
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Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 13:41
❝ citation ❞
L'HISTOIRE EST ÉTERNELLE AVEC ELLE.
❝ this is the story of my life ❞
◂ PART ONE. eurydice becket-hodgins, quatorze ans onze mai, bristol, UK.. [...] pour chanter le Chaos et la nuit éternelle. Grâce à la Divinité qui me protège, je suis descendu dans les espaces ténébreux, et je remonte sans accident aux lieux que tu éclaires.
John Milton, Le Paradis Perdu
« dégage de là je t'ai dis ! » hurla la jeune femme. Elle se leva alors de son lit pour virer l'intrus qui violait avec plaisir l'intimité que lui procurait sa chambre. « Maman, bon sang dis à Jordan de sortir de là, il est impossible ! » elle en avait marre. son frère lui tira alors la langue, le sang de la brune ne fit qu'un tour dans ses veines, elle sera les poings pour s'empêcher de lui asséner une baffe dans sa jolie frimousse de rat. « Jordan, je te préviens, si tu sors pas de ma chambre tout de suite, je te fais brûler les sourcils et les cheveux et le peu de poils que tu as sur le corps » siffla-t-elle entre ses dents. Elle fit les gros yeux et voulait se faire imposante, elle n'était pas comme ça d'habitude mais en ce moment fallait mieux pas la chauffer. « Jordan descend, tu sais très bien qu'elle pourrait le faire » Eurydice fit un geste de la tête pour approuver les dires de sa mère avec un sourire sadique « et eurydice je t'interdis de faire ça » Eurydice releva la tête et posa son regard sur son frère, qui lui afficha un sourire moqueur. Elle prit une respiration nerveuse, son frère approcha ses deux pouces sous son menton et lui fit un ché. « ou toi » dit-elle en commençant à se jeter sur lui, mais il fut plus rapide qu'elle et sortit de sa chambre, elle claqua alors la porte si fort que les murs tremblaient et le cadre qu'elle avait accroché prêt de la porte tomba. Un bruit d'éclat de verre se fit entendre dans la chambre de jeune fille. « je vais te tuer Jordan » cria-t-elle derrière sa porte. Une main sur celle ci, elle s'abaissa pour ramasser le cadre. A genoux, elle sentit les larmes montaient, sa gorge se nouait. Elle ramassa alors délicatement les bouts de verres brisées, essayant de ne pas se couper. « Eurydice ? je peux entrer ? » la voix de son père résonna doucement derrière la porte de sa chambre. Elle renifla en toute discrétion, s'écarta de la porte et dit « oui tu peux » la porte ne se fit pas attendre pour s'ouvrir. Elle releva alors la tête vers son père, cet homme qui l'avait toujours fasciné, depuis qu'elle était toute petite. « désolée » dit-elle honteuse de ce qu'elle venait de faire mais dans l'état qu'elle présentait à son père. « une Becket-Hodgins ne pleure jamais, sache le. » Eurydice hocha la tête et se releva, posant le cadre sur son bureau. « je le sais. »« pourtant cela ne t'empêche pas d'essayer de retenir les larmes qui essayent de couler » son père la connaissait que trop bien. Elle s'écarta de son bureau et alla s'asseoir sur son lit, les jambes repliés contre sa poitrine, les entourant de ses bras. « comment tu as rencontré maman ? » son père sourit, ses yeux avaient une lueur qu'il ne montrait jamais. « oh une longue et très belle histoire. » dit-il. « j'aime les longues et très belles histoires. » fit-elle en posant son menton entre ses genoux, à l'écoute de son paternel. Il comprit alors que sa fille de quatorze ans n'allaient pas le lâcher de si tôt. « d'accord, si je comprends bien tu veux que je te la raconte ? » il n'attendit pas la réponse de sa fille, il la connaissait déjà, il s'assit alors à côté d'elle. « bon, tu sais que ta mère est une Hodgins, famille réputée dans la médecine magique. »« Oui. »« bien, à vrai dire, je l'ai rencontré quand elle était à Sainte Mangouste, je me rappelle de ce jour comme si c'était hier » il parût soudain rêveur, comme si il revivait la scène. « elle était magnifique, dans son uniforme blanc »« papa tu bave ! » il se reprit très vite en laissant échapper un rire « mais comment ça se fait que tu l'as rencontré là bas ? »« je m'étais cassé le poignet »« pas très doué » conclut sa fille en riant. Elle releva alors la tête quand elle vit son petit frère. Elle ouvrit les bras et son frère de cinq ans lui sauta dans les bras. « allez viens là, écoute bien, moi j'ai attendu quatorze ans pour enfin entendre cette histoire » son petit frère la regarda, l'air de ne pas comprendre, elle déposa un baiser sur son front. « bon vous avez terminé de vous aimez et d'essayer de vous tuer ? » la brune releva la tête. « oui, on est prêt. » elle souleva son frère, croisant ses jambes en tailleur et le mit dans le creux que formait ses jambes. « voilà. »« bon, je m'étais donc cassé le poignet »« qu'est-ce que vous faites comme cachotteries vous trois ? » sa mère entra alors dans la chambre « papa nous raconte comment il t'a rencontré »« non tu ne vas pas faire ça ? » demanda-t-elle ne se cachant le visage. « tu as quelque chose à cacher maman ? » un sourire en coin. Sa mère s'approcha alors du lit de sa fille et s'y installa, prenant appui sur les jambes relevées de son mari. « mais pas du tout, je viens juste là pour qu'il ne déforme pas l'histoire. »« moi la déformer ? » son père paraissait faussement offensé, la main de sa femme se posa sur sa joue « mais non, mais non »« bon je peux raconter la suite ? »« oui tu peux » et la jeune fille sût enfin comment ses parents s'étaient rencontré, un coup de foudre, au premier regards, des mots maladroits de la part de son père, des rires incontrôlés de sa mère et un baiser passionnel à la sortie de la salle. Un amour qui faisait rêver, un amour unique que seuls ses parents vivaient, non elle ne voulait pas leur piquer le leur, il était bien trop précieux, et de leur amour est né sa personne et ce monstre qu'elle tenait dans les bras. « ah oui au faite, j'ai eu une lettre pour toi. » sa mère lui tendit une lettre. « ne me dites pas que c'est ... » Eurydice se redressa, bousculant au passage Jordan qu'elle rattrapa d'un bras avec un éclat de rire « oh mon dieu ! » elle ouvrit alors cette lettre qu'elle attendait tant, cette lettre qu'elle voulait recevoir depuis qu'elle savait parler, depuis qu'elle avait vu sa mère faire la vaisselle d'un coup de baguette, depuis qu'elle savait qu'elle était une sorcière. Elle lut alors la lettre, la tenant comme si elle tenait un objet précieux « je suis admise ! je suis admise ! » cria-t-elle en prenant ses parents dans ses bras. Elle en pleurait presque de joie. « on est tellement fière de toi ! » Elle se détacha de leur emprise et sera son frère dans ses bras, lui montrant la lettre, elle lui murmura à l'oreille « regarde Jordan, quand tu auras quatorze ans, tu auras cette lettre, et alors là, dans ta tête tu te diras que tu auras tout gagné dans ta vie. » son frère gratta son oreille, le souffle de sa soeur le chatouillait. elle regarda alors ses parents « je vais aller dans quelle maison d'après vous ? »« dans la maison qui te conviendra le mieux ma chérie, n'essaie pas d'influencer le choipeaux, il saura où te mettre, lui seul connait la vérité, la vraie nature des personnes. » Eurydice était déjà rêveuse. Elle s'y voyait déjà, elle ne pouvait plus d'attendre. maman, papa, je suis à serdaigle. je vous aimes, faites des baisers à Jordan de ma part. Eurydice.
❝ she's a dreamer.❞
« je peux pas, je suis désolée » dit-elle en essayant de rassembler ses affaires éparpillées sur la table. « oh allez viens Eurydice, juste pour cette fois ! » supplia l'une des filles de son dortoir, la brune releva la tête « je peux pas, faut que je termine ce devoir, il est important dans la moyenne »« mais ils sont tous important dans la moyenne » renchérit Mandie. « c'est bien pour ça qu'il faut que je le finisse. La prochaine fois promis. » dit-elle en prenant ses bouquins dans ses bras « c'est ce que t'as dis l'autre jour » bougonna Mandie avant de relever le visage « Eurydice Rosae Emma Becket-Hodgins, tu poses ton joli petit cul sur cette chaise et tu restes avec nous » Eurydice s'assit immédiatement, sans réfléchir à l'entente de son nom complet, c'est ses parents, normalement qui utilisent son pseudonyme tout entier pour la gronder parce qu'elle avait fait une connerie. « d'accord » soupira-t-elle. « vous avez gagnez. » elle les regarda d'un air suppliant, mais elles ne la lâchèrent pas. Même si elle avait passé un excellent moment, la jeune femme leur en voulait, elle était en retard dans son devoir et elle allait devoir y passer une bonne partie de la nuit dessus, si ce n'est tout la nuit.
Assise inconfortablement sur sa chaise, la jeune femme reposa sa plume avant de poser sa tête sur la table, elle plaça son bras en dessous, pour plus de confort, ses yeux se fermèrent sans qu'elle ne le demande, elle était beaucoup trop fatiguée, la nuit avait déjà bien avancer, les étoiles parsemaient ce ciel noir qui surplombait le château. Elle sombra dans un sommeil sans rêves. Dort, jeune fille, tes nuits ne seront plus calmes avant un moment.
. « j'aurais aimé t'aimer comme on aime le soleil, te dire que le monde est beau et que c'est beau d'aimer. » Elle courait, elle ne cessait de courir, une course contre la montre, il fallait qu'elle fasse vite, mais le temps s'était arrêté, elle courrait pour rien, mais elle le devait. Son ventre était noué, sa gorge lui brûlait, elle pleurait, elle ne savait pas où aller mais au fond d'elle, elle savait qu'il fallait qu'elle court, oui mais après quoi ? Tout était noir autour d'elle, elle s'arrêta soudain, son coeur battait si fort qu'elle avait l'impression de suffoquer, qu'il allait sortir de sa cage thoracique et l'abandonner pantelante. « noooooooooooon » hurla-t-elle. Elle se réveilla, tremblante, en sueur au dessus de la table. Elle chercha quelque chose de son regard bleu paniqué, mais rien. Elle était seulement dans sa salle commune, elle essayait de reprendre sa respiration mais elle n'y arrivait pas, comme si elle courait encore. Elle agrippa le bord de la table de ses deux mains et essayait d'arrêter de tremblait, elle n'y arrivait pas. Pourquoi ce rêve ? Elle secoua alors la tête, bousculant ses pensées, s'empêchant de trop penser. Ce n'était pas la première fois, pourtant elle avait prier pour que ce soit la dernière, elle se leva de sa chaise avec peine, ses jambes avaient du mal à la supporter comme si elle avait courut un marathon. Elle contourna la table et monta les escaliers qui la menèrent à son dortoir. La main sur son front, elle commençait à avoir un mal de crâne. « Eurydice ? qu'est-ce qu'il t'arrive ? » la jeune femme sursauta, manquant de tomber en arrière. Elle porta sa main au coeur « ne refais plus jamais ça, j'ai eu peur » dit-elle en se redressant pour aller à son lit. « et je vais me coucher » dit-elle en se laissant tomber sur son lit, savourant déjà chaque parcelle en contact avec son lit. « t'as bu ou quoi ? il est six-heure trente du matin, tu peux pas te coucher ! faut qu'on y aille » Eurydice se redressa comme un robot. « Pardon ? » Son amie afficha un air désolé, soudain Eurydice eut l'envie de pleurer. Elle se retourna et étouffa son envie dans son oreiller. Elle n'arrivait pas à se faire à l'idée qu'elle devait se relever. Mais elle fut aider par ses colocataires.
La jeune fille se sentait mal, presque au bord du gouffre, comme si le poids du monde s'était posé sur ses épaules, une épée de Damoclès au dessus de la tête, tenu par un seul fil. Elle croisa les bras contre elle et les posa au niveau de son ventre, il était tordu par la douleur, cette douleur qu'elle éprouvait depuis que sa mère et ses trois soeurs avaient disparus de ce monde, elle se sentait malade, elle ne cessait de pleurer dans son sommeil. Pourquoi elle était encore en vie et pas elles ? Elle se sentait presque égoïste d'écouter et d'essayer de faire ce qu'on lui demander, de vivre, de penser à son futur et de vouloir vivre ses rêves. Mais elle ne pouvait pas, pas avec l'idée qu'elles ne vivraient pas les leurs. Elle sera les lèvres et essuya les quelques larmes qui avaient coulés sur ses joues roses. Elle ramassa ses livres et se leva de sa chaise. Elle ne devait pas paraître comme ça devant les autres, elle devait se montrer forte, elle était déjà la risée de l'école en était née-moldu alors si elle pleurait à chaque fois, les choses allaient s'empirer pour elle. Elle sortit de la bibliothèque, ses livres contre sa poitrine, ses cheveux tombant en cascade dans son dos, ses pas calculés, précis et léger, comme si elle flottait dans les airs. Elle trouva alors un banc dans la petite cour de l'école. Elle y trouva une place et se plongea dans un de ses livres, les jambes croisées. En faite elle essayait de s'y intéressé mais elle ne comprenait pas les phrases qu'elle lisait. Elle soupira et releva la tête. Au loin, elle vit trois garçons, elle baissa la tête immédiatement. Elle prit une bonne respiration avant de se concentrer sur son livre. « Salut. » la jeune fille ne releva pas la tête, seulement le regard. « mhh » elle releva alors la tête, fermant son livre par la même occasion. Une toute autre attitude se lisait sur son visage. « Il y a un problème avec ta gorge ? » demanda-t-elle un sourire en coin. « Heu, je voulais savoir ton prénom. » La jeune fille arqua un sourcil. C'était l'un des garçons qu'elle avait vu là bas. « Pénélope. » répondit-elle simplement, pas de nom de famille, rien d'autre, seulement son prénom et encore elle sentait déjà que s'en était trop. « C’est un magnifique prénom. » elle s'empêcha de rire et répondit seulement en baissant la tête « je sais. »« Tu veux pas savoir mon nom ? » elle se retourna alors vers lui, elle fit semblant de réfléchir. « Hm… »« »C’est Se… la jeune femme le coupa « Non. Je ne veux pas savoir. » elle se leva et partit. Collant ses livres contre elle, un sourire qui la partageait, d'un côté c'était plutôt du style : mais pour qui se prenait-il celui là ? de l'autre c'était plus : oh mon dieu ! A ce moment là, la Serdaigle n'avait pas idée de ce qui allait l'attendre avec lui.
« Eurydice ? » la jeune femme ne répondit pas. « Oh oh ! » elle releva alors la tête de son livre, les yeux à demi-clos, en vérité elle n'était pas entrain de lire, mais de récupéré sa nuit. « quoi Rosier ? » dit-elle en se massant le front. Son mal de crâne était toujours là. « ohla, qu'est-ce que t'as foutu ? » elle soupira en basculant sa tête en arrière. « j'ai bosser toute la nuit. » lâcha-t-elle sans expression. C'était vraiment pas le moment de la soûler. « qu'est-ce que tu me veux Rosier ? »« t'as oublié un truc dans ma chambre » elle se frotta alors les yeux « bin fais en ce que tu veux, mais je t'interdis de l'exhiber compris ? » elle se releva, il l'aida. Une fois debout elle le plongea son regard dans le sien, ses yeux, elle les avait déjà vu mais où ? le mot était sur le bout de sa langue mais elle n'arrivait pas à le prononcer. « je ferais mieux d'aller me reposer » dit-elle en montrant du doigt sa tour, elle le quitta en plein milieu et partit en direction d'un endroit bien précis, son lit. Elle avait deux heures à casser devant elle.
Eurydice Becket-Hodgins
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Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 13:48
❝ citation ❞
L'HISTOIRE EST ÉTERNELLE AVEC ELLE.
❝ this is the story of my life❞
◂ PART TWO. eurydice and pénélope.hogwarts . [...] et il y a ton sourire qui s'élève, c'est comme une lueur d'espoir. il y a l'ombre et la lumière en travers de notre trajectoire. Elle ne demandait qu'une chose, son lit bon une deuxième aussi, dormir, elle ne demandait que ça, dormir les deux prochaines heures de sont temps libre, essayant de se rattraper sur la mine qu'elle avait du offrir comme poison à ses cours de ce matin, même le repas du midi de l'avait pas réveillé. Ses livres aux bras elle marchait vite, beaucoup plus vite. « Dégage, toi ! » la jeune femme de dix-neuf ans bouscula une autre personne, d'habitude elle aurait dit pardon mais pas à lui, elle ne le devait pas, de peur d'être encore réprimander par son meilleur ami. « Pa-Pardon.. » elle roula des yeux et le planta en plein milieu du couloir. Elle soupira, si il y avait une chose de plus a ajouter sur la liste pour qu'elle devienne de mauvaise humeur c'était bien sa présence, il la soûlait avec ses regards, bon d'accord il pouvait, on pouvait la regarder mais pas de cette façon, pas la sienne, il la mettait mal à l'aise et furieuse de l'état dans lequel elle était à chaque fois. Comme si il la suivait à chaque fois. Elle fut rapidement dans sa chambre. Essoufflée d'avoir monté les escaliers comme à chaque fois. « hooooooooo mon lit ! » soupira-t-elle quand elle laissa tomber ses livres par terre, se laissant tomber face contre le lit, la tête dans les draps elle marmonna quelque chose comme un truc du genre qu'elle était bien maintenant. Elle se déplaça légèrement et ne prit pas la peine de se couvrir qu'elle s'endormit direct. S'obligeant à ne pas rêver cette fois, à ne pas poursuivre ses yeux. Une voix lointaine la réveilla. « Eurydice ? Eurydice ? » la voix était au départ de plus en plus calme, mais plus elle refusait de bouger de là où elle était plus elle se faisait présente et une pression se fit sentir sur son bras. « mais laissez moi dormir bon sang ! » grogna-t-elle « non je ne peux pas, on a cours dans un quart d'heure, faudrait peut-être que tu te remette sur pieds » la jeune femme soupira et se frotta les yeux, elle se redressa « ouais ba a qui la faute si je suis là ? hein, c'est qui qui m'a obligé à rester avec vous ? »« ça sert à rien de te plaindre, t'avais qu'a faire ton devoir avant et puis d'arrêter de faire des promesses et de repousser tout à plus tard » Eurydice la regarde et lui tira la langue. « ouais bon d'accord. » elle n'aimait pas avoir tord mais là elle s'avouait vaincu. Elle se leva de son lit et se prépara pour ses prochains cours.
La vie était vraiment contre elle, elle perdait d'abord sa mère, la femme qui l'avait porté pendant neuf mois, celle qui l'avait mit au monde, celle qui l'avait protéger, celle qui l'avait aimé même si elle été différente, ses trois petites soeurs, celles qui voulaient êtres des princesses. L'homme qu'elle aimait, même si au début elle l'avait fuit. Maintenant lui, elle ne pouvait plus supporter. « Pourquoi, Kazran ? Tu veux aussi m’abandonner, c’est ça ? » Sa gorge était serrée, elle était sur le bord des larmes, elle ne voulait pas. « Je suis désolé, Pénélope. Mais je me sens inutile ici. Je dois partir avec eux. » elle n'y arrivait plus, elle posa son front contre le torse du jeune homme en face d'elle, elle l'aimait lui aussi, elle pleurait. « tu reviendras ? » sa voix était brisée. « Comme à toute question, il y a deux réponses, celle du poète et celle du savant. Laquelle veux-tu entendre en premier ? » elle sera ses lèvres en faisant signe qu'elle réfléchissait, il avait toujours eu le don de ne pas admettre les choses telles qu'elles étaient, ça perturbait Pénélope. « Celle du poète » bien plus positive que celle du savant, elle le savait, elle ne voulait pas voir la vérité en face. « Tu ne seras jamais seule car je serais toujours là. Dans ton cœur. Avec Septymus, ta mère et tes sœurs. Toujours. »« Celle du savant. »« »« Tu ne vas pas aimer. Elle est courte. »« Dis toujours. Reviendras-tu ? »« Peut-être. » elle sourit, son coeur se brisait un peu plus, la fissure s'agrandissait en elle. Elle se rapprocha un peu plus de lui et déposa ses lèvres sur les siennes. Une explosion se fit sentir en elle, elle ferma les yeux, elle fut frustrée qu'il ne répondit pas tout d'abord. Mais quand il posa sa main sur sa joue pour appuyer son baiser. Quand a elle, ses deux bras entouraient son cou. Ils rompirent le baiser tout les deux. « J’aurais pas dû, hein ? » il la sera contre lui, sa seule réponse. « Comme à toute les questions, ma chère Pénélope, il y a deux réponses. » les dernières paroles échangés. La jeune femme l'avait perdu lui aussi.
[size=16]❝ EVEN THE BEST FALL DOWN SOMETIMES.❞
Je ne sais plus ce que je dois faire, ma vie n'est qu'un problème de plus dans ce monde. Je suis maudite, oui je le suis. Chaque personne que je chéris et que j'aime ne sont, au final plus là, tous trépassent. Comment puis-je faire ? Qu'est-ce que je dois faire ? je sais que l'histoire ne se répète jamais, l'histoire bégaie mais là, ce n'est plus possible, soit je n'aurais jamais dû être là soit quelqu'un s'acharne contre moi. Je n'en sais rien. Personne ne sait rien. Je le sais, je le sens, ça me tue à petit feu, le premier, mon premier amour est mort, comment ai-je put le laisser partir, j'aurais du me battre, j'aurais du pour le garder près de moi, si je l'avais fais, Kazran serait toujours là lui aussi, moi je ne serais pas là, à écrire les choses qui ne peuvent plus sortir de ma bouche. j'ai peur, j'ai peur de l'avenir. pénélope.
. « c'est mes coups d'jus, c'est mes coups d'foudre, c'est mes coups d'blues, c'est pas vraiment un bon coup mais c'est dans l'mille à tous les coups » « Bordel Azrael tu fais chier ! » dit-elle alors qu'elle essayait de récupéré ses bouquins que son meilleur ami de Serpentard avait prit. Il ne répondit rien, des fois elle se demandait vraiment comment elle pouvait être aussi proche de lui, une Serdaigle et un Serpentard, une alliance, une amitié presque incompréhensible aux yeux de tous. « Aaaaaz’ ! » reprit-elle « Ta gueule, princesse ! » lui dit-il en déposant un baiser sur ses joues, la jeune femme arrêta de bouger comme à chaque fois, le rouge lui monta aux joues. Puis il partit, laissant ses livres sur la table, la jeune femme le regarda s'en allait. Elle jeta un regard aux alentours, elle se rassit sur sa chaise pas confortable et se cacha derrière ses mains qu'elle mit en visière. Elle les comprenait, tout les séparaient, pourtant ils étaient voisins, il habitait dans la même rue qu'elle, elle elle connaissait depuis qu'elle était toute petite, c'était avec lui qu'elle avait fait péter ses premiers pétards, qu'elle avait toqué aux portes des moldus, c'est avec lui qu'elle avait prit sa première cuite, son premier baiser, elle avait tout fait avec lui, il était son Azrael et elle était sa Eurydice et pourtant aujourd'hui, plus les jours passaient plus il changeait et plus un gouffre énorme s'installait entre eux. Il l'attirait, par un fil invisible dans ses méfaits, pourtant elle n'était pas du genre à se laisser faire, il n'y avait qu'avec lui qu'elle se la fermait. La grande Eurydice, la belle au sang pur de la maison Serdaigle se la fermait devant se fourbe de Serpentard qu'était son meilleur ami. Elle sentait toujours les regards sur elle, elle prit une inspiration et releva la tête. « Quoi ? » son ton était dur et détaché. Elle reporta alors son attention sur ses bouquins. Elle avait réussit à terminer ses devoirs juste avant qu'elle ne se fit interrompre par le brun. Elle pouvait quitter cet endroit, mais dans sa tête si elle partait c'était comme une forme de fuite, hors elle ne voulait pas paraître comme ça.
Les temps étaient durs, la jeune femme courait dans les couloirs de l'époque, zigzaguant entre les personnes qui se trouvaient sur son chemin. Elle contourna alors et vit une silhouette familière au bord du long couloir. Elle courait a en perdre haleine, ses pas auraient du être lourd vu le poids émotionnel qu'elle portait en elle mais non, ses gestes étaient légers. Elle s'arrêta devant le brun, se penchant en avant pour récupéré sa respiration, son souffle était coupé, c'était interdit de courir dans les couloirs de l'école mais elle l'avait fait. Cela ne faisait pas moins de deux ans qu'elle était là, et elle désobéissait aux règles. Elle se redressa alors et vit le visage de son interlocuteur se durcir. Il posa ses deux mains sur ses épaules, elle ne pouvait plus bouger, il lui faisait mal mais elle ne devait pas le montrer, relevant la tête et le questionna du regard « Ne t’approche plus de lui, compris ? » son ton était dur, menaçant, elle fut surprise de sa demande, comment pouvait-il dire ça ? Qui était-il pour dire ça ? Il n'avait pas le droit, elle approchait qui elle veut d'abord. « Compris ? Ne t’approche plus de Septymus Holloway de mon vivant. » Elle se pinça les lèvres et l'affronta du regard « Alors il te tuera ! » il éclata de rire face à sa réponse, il se tourna et partit « On verra bien ça ! »[/b] Pénélope était perdue, elle le regarda, tordant son visage par une grimace incompréhensible, elle continua alors sa route, en marchant cette fois, pourquoi lui avoir demandé de ne plus approcher Septymus ? Son tumys, l'homme qu'elle aimait, celui qui hantait ses rêves ? Elle aurait du le sentir mais non, rien. Elle se sentit rien de ce qui allait arriver.
Eurydice décida finalement de se lever, elle ramassa ses affaires et sortit de la bibliothèque, d'une démarche féline et sensuelle, qui faisait rêver les garçons et jalouser les filles. Pour sa sortie, elle avait réussit. [b]« kaboom. » murmura-t-elle alors que la porte de la bibliothèque se fermait dans un bruit sonore. La vie continue. Et pourtant méfie toi jeune fille, elle te réserve bien des surprises.
Cataleya P. Rhodes-Wheler
J'ai reçu ma lettre le : 26/01/2012 Parchemins : 86
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 14:11
BENSONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
E. Czarina Alinovitch
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 85
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, d'ailleurs, j'en ai quelques souvenirs... et possession aussi d'ailleurs amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 14:47
Oh, une deuxième Benson! Avec un prénom de malade en plus Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche!
Snow-Lynn T. Hurtlake
J'ai reçu ma lettre le : 30/01/2012 Parchemins : 437
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 14:51
Le pseudo et le choix d'avatar est superbe. pour ce qui est de l'avatar vous êtes deux à être dessus comme l'a fait remarqué Lou, donc vous serez en compétition pour l'avatar et c'est la meilleure fiche que l'emportera. bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche.
Saphyre P. Llewellyn-Well
J'ai reçu ma lettre le : 06/04/2012 Parchemins : 62
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: oui. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 15:39
Bienvenue parmi nous jolie blondie
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 12 Avr - 18:00
Bienvenue ici Par contre, comme ma collègue l'a dit, il y a déjà une Ashley et elle aura un petit avantage au moment de la délibération entre les deux fiches donc ce que je peux te conseiller, c'est de prendre contact avec elle pour voir si vous pouvez pas trouver un compromis Si tu as besoin de quoi que ce soit nous sommes ici pour toi N'hésite pas à parler du forum autour de toi plus on est de fous plus on rit
Avalon Wood-Blackburn
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 117
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: Aucun évènement déclencheur n'a encore eu lieu, mais j'ai quand même peur que cela existe réellement ; j'ai malheureusement eu l'occasion de voir les dégâts que ça peut provoquer. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Ven 13 Avr - 14:16
TON PRÉNOM ENVOIE DU PÂTÉ !! Hâte de voir ce que tu vas faire de ton perso. :3
Eurydice Becket-Hodgins
J'ai reçu ma lettre le : 12/04/2012 Parchemins : 34
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: il y a seulement des flashs, des flashs qui me perturbent. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Mer 18 Avr - 17:26
merci beaucoup finalement je vais prendre le scénario avec lyndsy fonseca
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Mer 18 Avr - 17:27
Ca marche mais fait attention, tu as posté ta fiche il y a déjà une semaine ça commence à faire un peu long
Eurydice Becket-Hodgins
J'ai reçu ma lettre le : 12/04/2012 Parchemins : 34
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: il y a seulement des flashs, des flashs qui me perturbent. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Mer 18 Avr - 17:30
oui je sais, j'ai eu des contre temps mais là je me met vraiment à ma fiche (a)
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Mer 18 Avr - 17:31
Ce n'est pas grave Mais comme tu prends un scénario très important, je voulais être sure que tu étais prête à l'assumer Bonne chance alors pour ta fiche
G. Téonard Rosier
J'ai reçu ma lettre le : 22/01/2012 Parchemins : 128
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: j'y crois. j'ai des flashs, tout le temps. enfin, quand ELLE est là. ELLE ? je sais pas qui c'est. mais elle existe. la vie de ma mère. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 19 Avr - 6:56
j'adore le ramassis de beaux gosses dans ta fiche. (a) bref, je t'aiiiiime !
Eurydice Becket-Hodgins
J'ai reçu ma lettre le : 12/04/2012 Parchemins : 34
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: il y a seulement des flashs, des flashs qui me perturbent. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Jeu 19 Avr - 7:51
t'as vu ça un peu, ils envoient du lourds, du très lourds héhé je sens qu'on va bien s'amuser (a)
Eurydice Becket-Hodgins
J'ai reçu ma lettre le : 12/04/2012 Parchemins : 34
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: il y a seulement des flashs, des flashs qui me perturbent. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Sam 21 Avr - 18:53
désolée du double post, j'ai terminée ma fiche, j'espère que ça ira
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Sam 21 Avr - 18:57
J'attends l'avis du petit renard avant de te valider
Eurydice Becket-Hodgins
J'ai reçu ma lettre le : 12/04/2012 Parchemins : 34
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: il y a seulement des flashs, des flashs qui me perturbent. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Sam 21 Avr - 19:01
d'accord
G. Téonard Rosier
J'ai reçu ma lettre le : 22/01/2012 Parchemins : 128
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: j'y crois. j'ai des flashs, tout le temps. enfin, quand ELLE est là. ELLE ? je sais pas qui c'est. mais elle existe. la vie de ma mère. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Dim 22 Avr - 10:09
oh. my. gash. voilà. (a)
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Dim 22 Avr - 10:44
Ca marche alrs Je te valide :
Ҩ Cher/Chère Invité,
Nous avons le plaisir de vous informer que votre inscription au collège Poudlard est validée. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. Tu peux dès à présent faire tes demandes dans les différentes partie du forum
Veuillez croire, cher(re) Invité , en l'expression de nos sentiments distingués.
J'ai reçu ma lettre le : 12/04/2012 Parchemins : 34
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: il y a seulement des flashs, des flashs qui me perturbent. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice. Dim 22 Avr - 11:01
Merci beaucoup
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Sujet: Re: sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice.
sometimes vulnerability can be our greatest weapon » eurydice.