J'ai reçu ma lettre le : 19/04/2012 Parchemins : 24
Sujet: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Jeu 19 Avr - 18:26
parchemin de
Marshall Fredrich Harwicks
«T’es mal placé dans la chaîne alimentaire pour faire ta grande gueule ! »
Je me présente, je m'appelle Marshall et j'ai 18 ans ans. Oui, parce qu'en fait, je suis né le 27 Mars en Angleterre. Sinon, je suis Anglais . Je suis de famille sang mêlé. En tant que sorcier, je possède bien-sur une baguette, "l'amour de ma vie", qui est constituée de Bois de Chêne et son coeur est constitué d’écaille de dragon. Elle mesure 28 centimètres. Mon Patronus a une forme de Panda roux. Concernant ma vie amoureuse, je suis Célibataire. Depuis mes quatorze ans, je suis à Poudlard et maintenant je suis déjà en 5e année. Je suis un Blaireau sauvage . C'est une fierté que de faire partie de leur rangs. Dans ma vie antérieure je m'appelais Sid , très joli nom n'es-ce pas.
Ҩ Il déteste l’école, préférant mettre toute son énergie dans le sport. Il accumule les échecs scolaire, au plus grand désespoir de son père et de ses enseignants Ҩ Pas surprenant qu’ils aient une relations très tendu Ҩ C’est un solitaire sans vraiment le vouloir Ҩ Il a réussit à faire croire à sa meilleure amie, pendant 2 semaines, qu’il savait parler fourchelang Ҩ Sa couleur préféré est le vert Ҩ Il est un estomac sur patte Ҩ Il adore, il ne vit que pour le Quidditch. Il s’inspire d’un style de jeu robuste et violent Ҩ Son équipe préféré sont les « Faucons de Falmouth » Ҩ Il a peur du monde adulte et d’assumer des responsabilités Ҩ Il ne tien pas bien l’alcool Ҩ Malgré ses airs de fripouilles, il n’aime pas les soirées délurées Ҩ N'a aucun souvenir d'une vie antérieur, il ne croit donc pas au phénomène Ҩ Il est fasciné par les dragons Ҩ Le choixpeau à longuement hésité. Gryffondor l’attendait bras ouvert et pourtant c’est à Poufsouffle qu’il fut envoyé Ҩ Il a parfois le sentiment d’avoir été envoyé à la mauvaise place, mais il ne déteste pas pour autant être parmi les jaunes Ҩ Il n’a plus contact avec sa mère Ҩ S’entend malheureusement très mal avec son père Ҩ Il a eu un chat à son entré à Poudlard qui à pris la fuite deux jours plus tard Ҩ Aurait dû redoubler sa 4e année, vu ses résultats Ҩ Son père à mit de la pression pour qu’il en soit autrement Ҩ Il n’a qu’une seule véritable amie Ҩ Est prêt à tout sacrifier pour elle Ҩ Déteste profondément le cours de potion Ҩ Est un grand flemmard Ҩ A peu de succès avec les filles
J’aimerais bien vous dire que Marshall est un garçon intelligent, séducteur et populaire, mais ce serais vous mentir. Regardons la vérité en face; ce jeune homme n’est la fierté de personne. Le dernier descendant des Harwicks est un raté aux yeux de beaucoup de monde. Il se distingue parfaitement des autres membres de sa famille, à croire qu’il a été adopté. Même à Poudlard, le titre de Looser n’est jamais bien loin derrière lui. Si au moins il sortait du rang à cause de ses excellents résultats scolaires ou ne serais-ce que pour son acharnement au travail, ce serait une bonne chose – mais encore une fois il n’en est rien. À vrai dire, les cours l’ennui profondément. Son unique passion est le Quidditch; Un argument suffisant pour le faire déshériter. Ce sport c’est sa vie. Si vous lui demander ce qu’il fera pendant les vacances, dans ses temps libres ou même ce qu’il compte faire de sa vie…tout sera lié à ce sport. De toute manière, avec les résultats désastreux qu’il accumule, il sera difficile pour lui de trouver un meilleur plan de carrière – au grand malheur de son paternel. Lui qui avait tant misé sur son fils, voit se tracer un échec fulgurant. Bien qu’il soit quelqu’un d’assez ouvert, il n’a pas les qualités nécessaire pour se faire un grand cercle d’amis. Son manque de discipline, n’en fait pas un bon camarade de dortoir non plus. Il ne range pas son bordel, n’est jamais à l’heure aux cours et ripostera si on ose lui faire une remarque qu’il n’apprécie pas. Il a ses nombreuses faiblesses qui gâchent l'image qu'il aimerait bien projeter à autrui. Mais au fond, Marshall est un individu avec des valeurs fortes, il a un caractère surprenant et serait prêt absolument à tout pour les gens qu’il aime.
❝ Ils n’étaient pas toujours d’accord, en fait ils n’étaient jamais d’accord sur rien, ils se bagarraient tout le temps et ils se testaient mutuellement mais en dépit de leurs différences ils avaient une chose très importante en commun ils étaient fou l’un de l’autre..."
« Marshall, vient manger » Le diner était prêt. Ma mère avait préparé un rôtis avec des pommes de terre. Pour moi il n’y avait pas meilleur moment dans la journée. Après avoir passé mon temps à jouer à dehors, le repas signait la fin d’un bon moment. Je m’étais attablé face à ma mère. Mon père attendait déjà au bout de la table, jugeant mon allure de gamin malpropre d’un regard sévère. « Va te laver les mains! » À cet âge personne ne pense à se laver les mains, mais il y a longtemps que j’aurais du assimiler se détail à ses yeux. Je m’exécutai silencieusement et retourna m’assoir. « Ce sont les porc qui se roulent dans la boue. Regarde-toi bon sang! ». Heureusement ma mère était là, veillant sur moi, prête à prendre mon parti. C’était surement ce qui rendait leur couple si fragile. « Eliaz, c’est un enfant. C’est normal qu’il s’amuse » « Il y a moyen de s’amuser sans avoir l’air de ca. C’est un manque de respect de se présenter à table avec cette allure de clochard ». J’avais été heurté, les mots de mon père me bousculèrent. Je l’affrontai d’un regard fâché, blessé par des mots si durs. « Ne fait pas cet air, veux-tu! ». J’avais tenu tête et je sursautai lorsqu’il frappa son poing sur la table. Il m’ordonna d’aller dans ma chambre, j’étais privé de repas ce soir.
Je suis l’unique descendant des Harwicks, fils d’Eliaz & Morgann Harwicks. Je n’étais pas un enfant désiré bien que l’union de mes parents fût sincère et emplit d’amour. Mon arrivé au monde venait gâcher leur liberté de couple encore jeune dont ils auraient sans doute voulu profiter une ou deux année encore. Eux disaient que j’étais une belle «surprise» - un héritier répétait mon père. Qu’est-ce que l’on pouvait inventer comme bêtise parfois, mais moi je savais j’étais un accident et rien d’autre. Je ne pourrais pas leurs en vouloir, leurs intentions étaient bonnes après tout. Ma mère avait se côté rêveur dont j’ai hérité. Ce qui la passionnait, elle, c’était la botanique. Elle pouvait passer des heures dans le jardin sans que je ne comprenne ce qui la faisait vibrer en regardant des plantes. Mon père lui se vantait d’avoir un véritable travail. Il bossait à Gringotts – directeur de la franchise de…je n’ai jamais vraiment prêté attention. Rien de passionnant…Mais mon père était, j’en étais certain, le plus acharné au travail. Il ne manquait pas une occasion de quitter la maison! Il était donc normal qu’il soit aussi exigent envers moi qu’il l’était envers lui-même. Cependant il a rapidement frappé un mur. À cinq ans, mon père était un modèle et il aurait tant aimé que je m’intéresse à son travail, mais comment dire…Mon père, Eliaz, était très rationnel et à mon âge je ne pensais qu’à m’amuser dans mon imaginaire explosif. Puis il avait cette fâcheuse tendance à devenir trop sérieux et du coup je fermais mon esprit à ce qu’il racontait. Mon éducation était primordiale pour lui, probablement parce qu’il espérait que je suive ses traces. Dommage, car il s’aperçu bien vite que je ne répondais pas à ses exigences «d’intellect», comme il l’espérait tant. Car mis à part savoir compter et bafouiller avec maladresse les étapes de l’ouverture d’un compte, je ne voulais rien savoir. Moi j’étais un cas désespéré et je dois avouer qu’au bout d’un temps, je n’y mettais plus d’effort. Je n’avais rien en commun avec mon père. Je n’avais pas la classe et la prestance qu’il avait. J’étais un peu le vilain petit canard; celui qui faisait tâche dans cette famille qui paraissait aux yeux de tous; parfaite. Pour lui, l’importance de la pureté du sang avait tout son sens et pour moi ce n’était qu’un détail dont il n’était pas la peine de porter attention. Mais ne vous méprenez pas, la vérité concernant nos ancêtre n’est pas aussi glorieuse que mon paternel l’a toujours laissé croire. Ma mère Morgann, était de sang pur, mais mon père - Éliaz - non. Certes, il prétend le contraire, mais il a tout faux. En fait il s’agirait de mon arrière, arrière grand-père qui auraient épousé une moldu. C'est une chose dont on ne parle pas chez-moi, l'importance du rang ayant une bien trop grande place au sein de la famille.
J’ai grandit dans la campagne Anglaise, vivant au cœur de l’univers magique, n’ayant que très peu conscience de l’existence des Moldus. Déjà à cet âge j’étais un solitaire, mais j’étais un enfant heureux qui ne s’en faisait pas avec la vie. Je pouvais passer mes journées à jouer dans le jardin ou dans le boisé près de la maison familiale. Une attitude que mon père n’approuvait pas tellement, trouvant anormal de n’avoir que le chien de la voisine comme meilleur ami. Il me força donc à rencontrer d’autres enfants de mon âge. C’est un peu de cette manière que je rencontrai les James et leur fille. Les James et les Harwicks étaient de très bons amis, mais entre moi et Esméralda ce ne fut pas aussi simple. Moi j’aimais le Quidditch, jouer avec les vers de terre et me rouler dans l’herbe, alors qu’elle était le portrait type de la petite princesse que j’adorais tourmenté. Comme quoi les relations humaines n’avaient jamais été mon fort.
✘✘✘✘
« Est-ce que tu veux bien m’accompagner au bal? » Elle me sourit gentiment, je cru que cette fois j’avais peut-être une chance, jusqu’à ce que l’écho cristallin de son rire mit un point final à la conversation. Puis elle me tourna le dos, sans un mot de plus. J’avais baissé les yeux, humilié et brisé une énième fois par le rejet. Elle s’éloigna. La foule m’avait dévisagé, certains me prenaient en pitié – d’autre déplorait ma maladresse. Certain était voué à la misère, au malheur. Moi j’étais peut-être prédestiné à l’échec, à l’exclusion. Je sentis la présence de mon amie à mes côté. « Alors? ». Elle me prit d’assaut avec cette question et j’eu trop honte d’avouer ce qui venait de ce passer. Elle, Esméralda, avait eu de nombreuses propositions. Elle savait depuis longtemps qui aurait la chance de l’accompagner à cette soirée organisé par le collège. Je lui souris. Je n’avais qu’elle et c’était tout ce qui m’importait. Mais elle n’avait pas que moi, c’était là mon plus grand malheur. J’avais plus besoin d’elle qu’elle n’avait besoin de moi. « Elle à dit oui. ». Ma feinte était parfaite et tellement souffrante. Je ne voulais pas avoir l’air d’un raté aux yeux de cette amie que j’adorais. Cette année je voulais autre chose que ce regard compatissant.
« Hey Marshall, grouille toi un peu, tu va manquer la soirée » On venait me déranger dans ma contemplation de l’âtre de la salle commune. Je ne répondis que d’un hochement de tête. « Tu n’y allait pas avec Heather? ». On répondit à ma place, croyant bon de le faire. « Mais non, il a raconté ca pour sauver la face. Elle y va avec Trevor. Marshall va guetter les dortoirs comme à chaque année. » Je ne répondis rien, acceptant la remarque comme une fatalité. En fait, je me fichais pas mal d’Heather, je caressais simplement l’espoir qu’on me dirait oui un jour. Je savais que ce soir mon amie se rendrait compte de la supercherie, mais je ne serais pas là pour voir la pitié dans son regard. Elle aurait du plaisir ce soir et moi j’aurais le calme qui m’accompagnait toujours à cette même date.
« Marshall je… » Je l’évitai, préférant faire le sourd d’oreille à cette conversation. Esméralda m’interpela à nouveau « Marshall, attend! » Je stoppai mon élan, attendant les premières remarques qui feraient mal. Elle ne dit rien, m’étreignant dans ses bras. C’était tout ce dont j’avais besoin.
À Poudlard, mon point d’attache c’était elle, cela avait toujours été elle. J’étais dégourdis, mais prendre de l’âge m’avait rendu peu sur de moi, contrairement à elle qui prenait beaucoup plus d’assurance. Je gérais mal les histoires de cœur, entretenir des relations amicales devenaient complexes. La seule personne qui croyait en moi, c’était elle. Mes premières années ne furent pas facile. Faire ma place devenait une source de conflit et je nageais dans les problèmes alors que j’étais d’un naturel conciliant. Mon entré à l’école fut pénible, je détestais cela. J’aurais voulu être intelligent et porté le même blason que mon amie, ne pas être laissé à moi-même dans ce cadre qui ne m’allait pas. Il me fallait faire à l’idée qu’Esméralda n’allait pas être toujours là pour me sortir de mes emmerdes. Mon père me montrait la jeune James comme étant le symbole de la réussite, une fierté qu’il aurait voulu accueillir dans la famille à n’importe quel prix. Elle avait tout pour plaire, c’était vrai. Pour lui, je n’étais qu’un bon a rien et faire parti des jaunes et noirs n’aida pas ma cause. Je venais de briser cette tradition, je venais de mettre une tâche jaune à ce noble vert. Je faisais honte au blason familial, encore. Les discours moraliste, mettant Esmé’ sur un piédestal était l’évidence d’un fait que j’aurais voulu nier. Elle était trop bien pour moi. J’obtenais quelques rares notes acceptables pendant mes années à Poudlard. A force d’échouer, mes efforts se dissipèrent de plus en plus. Je portais une profonde haine envers les études. Ce n’était pas pour moi, c’était évident! Heureusement, le Quidditch me garda sur les railles. Si ce n’avais été de ce sport, je serais surement resté reclus dans ma chambre à ne pas voir le monde qui m’entourait. Le Quidditch me donna l’air épanouit et je mis les études de côté pour m’y concentrer sérieusement. Un choix que personne n’approuva, mais qui au fond m’avait sauvé de la folie. En troisième année, mes parents se divorcèrent. Ma mère mit les voiles et ce fut le choc. Ma mère me comprenait beaucoup mieux que mon père. Plus conciliante, plus attentionné, plus ouverte d’esprit. Elle me manquait terriblement. Je ne compris rien à ce qui venait de se passer. Pourquoi ma mère me laissa sans nouvelle, elle qui prétendait tant m’aimer. Les semaines suivantes, nous avons emménagé chez mes grands-parents; les parents de mon père. C’était une situation provisoire qui devint permanente. Mon père avait un horaire soi-disant chargé et il préférait me savoir là, plutôt que seul à la maison, à mettre le bordel. Ce n’était pas si dramatique, c’étaient des gens biens. Une espèce de caricature d’un vieux couple. Mon grand-père était bougon et ma grand-mère était un peu extravagante. Cette situation, ne fit que me rapprocher davantage de mon amie. Je m’accrochais à elle, elle était tout ce que j’avais de plus précieux et je craignais qu’elle me délaisse à son tour. Je passai le clair de mon temps chez elle. J’étais beaucoup plus proche de ces parents que des miens. Il n’y avait que là où je me sentais libre d’être qui j’étais, sans crainte qu’on me rabaisse continuellement. J’étais heureux.
MARTYR: Un martyr (du grec ancien μάρτυς,-υρος martus, « témoin ») est celui qui consent à aller jusqu’à se laisser tuer pour témoigner de sa foi, plutôt que d’abjurer.
« Ils ont mit les voiles hier dans la nuit. Ils croient vraiment pouvoir échapper à ce qui arrive. Ils en paieront le prix fort. Crois-moi Sid, nous creuserons leurs tombes ». « Mais père, vous parlez d’eux comme si ils étaient nos ennemis, c’est ridicule ». Il me bouscula contre le mur, m’invitant brutalement à me taire. La vérité était que j’étais contraint à me plier à la volonté de ceux qui avait apporté ce vent de tyrannie. J’étais un lâche, un complice de cette guerre. J’avais à peine décroché ma majorité que je devais m’embarquer dans ce conflit, sans avoir l’audace de choisir mon propre clan. Je servais le mal comme un sbire soumis et incapable d’agir selon sa propre volonté. Ceux qui se dressaient contre eux, contre nous…étaient rapidement remis à l’ordre d’un Avada Kedavra. Mes parents m’avaient encouragé fortement à suivre son exemple, à me ranger derrière le bastion de Durmstrang. Une décision que je ne pouvais contester, sans pour autant être d’accord. Les tentions avaient monté d’un cran et les slaves cherchaient à prendre le pouvoir. Moi j’étais le spectateur de cette catastrophe.
J’étais là lorsque Beauxbâton fut réduit en cendre. J’ai pris part à cette guerre, je ne faisais qu’obéir bêtement, sans réfléchir, lobotomisé par le venin d’un mal lancinant. J’étais là lorsque les morts se multipliaient, mais c’est tout ce que j’avais pu faire. Être l’émissaire d’une souffrance injustifié n’était pas dans ma nature. Je le compris assez tôt dans ce conflit. J’étouffais sous l’oppression et l’insistance de ma famille de porter leur étendard sur le champ de bataille. Je me devais être le bourreau de cette famille respecté. Je croyais ne pas pouvoir m’indigner contre ce cauchemar. J’avais arpenté les couloirs de l’école prise d’assaut, m’éloignant petit à petit de mes compagnons d’infortune. Eux avait à cœur cette mission, moi je tenais à peine sur mes jambes. Je me glissai dans une pièce sombre, cherchant le calme pour effacer ses images d’horreurs qui me pourrissaient l’esprit. Ce soir là, j’avais sangloté comme un enfant derrière cette porte qui serait bientôt la proie des flammes. Puis il y eu ce bruit, un grincement dénonçant une présence derrière moi. J’étais vulnérable et on aurait tôt fait de me mettre hors d’état de nuire. J’attendais le coup fatal, mais il ne vint jamais. Je me retournai, faisant face à l’ennemi. Cinq jeunes filles. Certaine pas bien plus jeune que moi, d’autre ayant à peine l’âge de ma défunte cousine. L’ennemi c’était moi.
C’était une évidence à présent, je ne pouvais supporter d’être à l’image de ceux qui s’en prenait aux innocents pour faire valoir leur supériorité. Je ne voulais pas de ces regards horrifié qu’on m’adresse, je voulais m’échapper de ce monde brutal dans lequel on me noya. La plus vieille du petit groupe me menaçait de sa baguette, paniqué autant que je pouvais l’être moi-même. « Il faut que vous partiez… » Je soufflais cette évidence, me convaincant moi-même de cette prise de position. «Je vais vous aider à sortir d’ici ». Voilà qu’enfin j’osais me libérer de mes chaînes. On s’opposa à ma proposition, on me menaça. Elles croyaient à un piège, on cracha sur moi, on refusa mon aide. On força très bientôt, l’unique porte de la pièce. Pris au piège, la plus âgé convaincu les autres de cette unique chance de s’en sortir. Nous avons été pris d’assaut et pour une rare fois j’agissais en sachant que c’était pour les bonnes raisons. Mon changement de camp soudain, avait semé la confusion. J’étais désormais un traitre qui s’efforçait d’agir de la bonne façon, pour la première fois. Je frayai un chemin vers un lieu plus sur, éloignant mes nouveaux allier du danger. On se sépara dès que l’occasion se présenta. Je n’eu droit qu’à un regard en guise d’adieu et pour la première fois depuis longtemps ce regard était doux et emplie d’une pureté que jamais je n’oublierais. Je n’avais pas eu la chance d’en faire autant, de m’enfuir pour de bon. On mit très tôt le grappin sur moi, me ramenant chez « les miens ». On me gracia d’un procès. J’étais le premier des leurs à se buter contre eux et je devais impérativement servir d’exemple. J’étais odieux, j’osais crier au monde ma façon de voir les choses, sans crainte puisque désormais j’étais libre. Je me rangeais du côté de Poudlard alors qu’eux-mêmes ne connaissait pas mon existence, ni même la porté de mes actes. On réclamait ma tête et ma famille ne si opposa jamais. J’étais la proie de tout le monde, j’attendais la mort. Je dû supporter les pires supplices, espérant le coup fatal. On avait préféré jouer le grand jeu, satisfaire la foule enragé. Ils voulaient m’entendre admettre mes tords avant de m’arracher la vie.
Ils n’eurent rien.
Captain Awesome
ϟ AGE : Trop vieux pour toi ϟ QUEL HIBOU T'A AMENÉ ICI ? : J'sais plus! ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : Il est sympas. Comment je sais jamais quoi répondre à cette question XD ϟ AVATAR : Jamie Bell ϟ DOUBLE COMPTE : Inexistant ϟ CODE DU RÈGLEMENT : edit par cordy ! ϟ UN PETIT MOT POUR LA FIN ? : J'aime avoir le dernier mot =D
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Jeu 19 Avr - 18:40
Bienvenue ici et merci pour ton inscription Si tu as besoin de quoi que ce soit nous sommes là pour toi N'hésite pas à parler du forum autour de toi : plus on est de fous plus on rit
UN HOMMMMME
Snow-Lynn T. Hurtlake
J'ai reçu ma lettre le : 30/01/2012 Parchemins : 437
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Jeu 19 Avr - 18:51
MON DIEU, JAMIE BELL, JAMIE BELL, JAMIIIIIIEEEE BELL. c'est genre un pure choix que tu viens de faire, nous faudra un lien entre poufsouffle bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche
Cataleya P. Rhodes-Wheler
J'ai reçu ma lettre le : 26/01/2012 Parchemins : 86
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Jeu 19 Avr - 19:45
La citation + Sid + Bell = Je t'épouse Bonne chance pour la suite de ta fiche
Avalon Wood-Blackburn
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 117
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: Aucun évènement déclencheur n'a encore eu lieu, mais j'ai quand même peur que cela existe réellement ; j'ai malheureusement eu l'occasion de voir les dégâts que ça peut provoquer. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Ven 20 Avr - 9:34
Haaan Jamie Bell ! BIENVENUE Dis, un blaireau sauvage, ça s'attrape avec une poké ball ? *out*
Darcee Y. Dubois
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 35
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Seulement la partie concernant la guerre, rien avant, ni après amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Ven 20 Avr - 10:01
MOI JE VEUX ME MARIER AVEC TOI ET AVOIR TOUT PLEIN DE N'ENFANTS
G. Téonard Rosier
J'ai reçu ma lettre le : 22/01/2012 Parchemins : 128
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: j'y crois. j'ai des flashs, tout le temps. enfin, quand ELLE est là. ELLE ? je sais pas qui c'est. mais elle existe. la vie de ma mère. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Ven 20 Avr - 10:27
moi aussi.
Marshall F. Harwicks
J'ai reçu ma lettre le : 19/04/2012 Parchemins : 24
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Ven 20 Avr - 16:09
Wouah, il y a de l'amour dans l'air! Je crois que c'est la toute première fois que j'ai des demandes en mariage en m'inscrivant sur un forum. Deux en plus! Cet endroit me plait très beaucoup! Donc un gros merci à tout le monde; À Cordélia pour son amour des hommes, Snow pour l'extase et sa couleur jaune, Cataleya parce qu'elle est ma première demande en mariage, Avalon parce que... c'est une Serpentard alors je me contente de dire merci pour éviter le couroux, Darcee parce qu'elle est ma 2e demande en mariage! Et finalement Téonard! Aaah Téonard que dire sinon que...c'est un peu malaisant comme situation! Bref, z'êtes sympas
PS: Je crois bien avoir terminer ma fiche. Ouf!
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: Marshall ✘ Happiness only real when shared. Sam 21 Avr - 20:40
On avait pas vu pour ta fiche, je suis désolée J'aime beaucoup ton personnage dans le passé, ça change vraiment Je te valide :
Ҩ Cher/Chère Invité,
Nous avons le plaisir de vous informer que votre inscription au collège Poudlard est validée. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. Tu peux dès à présent faire tes demandes dans les différentes partie du forum
Veuillez croire, cher(re) Invité , en l'expression de nos sentiments distingués.
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