J'ai reçu ma lettre le : 21/04/2012 Parchemins : 75
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: c'est possible, oui. amis/amours/emmerdes:
Sujet: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 16:08
parchemin de
ophélia lùllaby derwent
“ never a failure, always a lesson ”
Je me présente, je m'appelle Ophélia et j'ai dix-neuf ans. Oui, parce qu'en fait, je suis né(e) le trente et un octobre en Angleterre. Sinon, je suis grecque et anglaise. Je suis de famille sang-mêlé. En tant que sorcier, je possède bien-sur une baguette, "l'amour de ma vie", qui est constituée de bois d'ébène, elle mesure 23.8cm, est assez peu flexible, mais contient le ventricule d'un magyar à pointes en son sein. Mon Patronus a une forme de renard. Concernant ma vie amoureuse, je suis décidément célibataire. Depuis mes quatorze ans, je suis à Poudlard et maintenant je suis déjà en sixième année. Je suis un Serdaigle. C'est une fierté que de faire partie de leur rangs. Dans ma vie antérieure je m'appelais Sibel Kaligaris, très joli nom n'est-ce pas.
just the way you are
absolument et terriblement têtue, philly est une calamité quand elle se met dans la tête qu'elle a raison et se battra corps et âme afin de pouvoir gagner son point Ҩ hautaine et superficielle - telles sont les conséquences d'avoir été élevée comme une véritable princesse - elle ne se gêne jamais pour dire ce qu'elle pense, même ces vérités qui blessent à toute personne croisant son chemin Ҩ brillante, comme la plupart des Serdaigle, elle ne se donne pourtant aucunement pour exceller dans la majorité des classes, sauf dans ces matières où personne n'y comprend rien - Runes, Arithmancie, ce genre de trucs qui n'intéressent personne Ҩ son éducation se voulait être d'une dame avec un esprit de guerrier, alors elle se montre redoutable dès qu'elle a l'occasion de tirer sa baguette de la poche de sa robe de sorcier Ҩ la pression qu'elle se met sur les épaules afin de ne jamais faillir et décevoir ceux qui compte pour elle lui pèse tellement qu'elle se retrouve une fois par semaine dans une aile oubliée du château pour expulser des pleurs hystériques Ҩ ce que madame désire, madame aura, c'est une règle capitale pour le bonheur de la demoiselle Ҩ philly n'est pas foncièrement méchante, en fait, elle est tellement exigeante envers elle-même qu'elle n'a pas de temps à consacrer à harasser le commun des mortels Ҩ elle ne ressent aucune honte à être de sang-mêlé, s'amusant même à arguer qu'elle n'aura pas à marier un cousin éloigné, comme tant de sang-pur avant elle Ҩ fière, elle ne supporte pas la défaite, ni même qu'on la contredise ou qu'on la heurte de quelque manière. elle met un point d'honneur à venger son orgueil blessé lorsque quelqu'un y parvient Ҩ ophélia ne fait rien à moitié, et s'élance corps et âme dans un projet lorsqu'il lui tient à coeur Ҩ elle sait se servir de ses charmes - plutôt nombreux, sans fausse modestie - pour atteindre ses objectifs. évidemment, cela fait d'elle une manipulatrice hors-pair et fière de l'être Ҩ elle s'émeut plus devant un animal blessé que face à tout être humain Ҩ elle possède un chat noir, salem, un animal étrange qui ne vient l'importuner que lorsqu'elle en a franchement besoin ou qu'il a terriblement faim Ҩ elle souhaite travailler à sainte-mangouste, un jour, comme son aïeule Ҩ elle n'a pas aimé s'abandonner à quelqu'un une fois, pour se retrouver désarmée quand il a changé de cap. elle ne souhaite plus jamais, JAMAIS, revivre un sentiment semblable.
Les mots sont pour Ophélia une arme de loin plus dévastatrice que tous les Avada Kedavra de ce monde. Ils blessent, ils font sourire, ils peuvent briser une personne en moins de temps qu'il n'en faut pour sortir une baguette magique. C'est ainsi qu'on l'a instruite, en femme qui devra se montrer plus forte que le cruel monde qui l'entoure, peu importe la manière, peu importe le moment, elle se doit de se montrer au-dessus de ce qui fait perdre le nord de la plupart des gens. Les mots rendent fous, les actes blessent, mais Ophélia Lerwent vaut mieux que ça. Elle l'a compris bien vite, et derrière les traits fins et délicats se trouve un animal qui, craignant d'être blessé, frappe pour éviter de devoir encaisser une éventuelle attaque. Elle lit à en avoir la migraine, histoire d'en connaître le plus possible. Ainsi, elle préviendra la douleur de l'abandon, de l'échec et de l'inconnu. C'est ce en quoi elle croit, ça, et un bon duel selon les règles de l'art.
❝ that truth hurts, and those lies heal ❞
« Je n'apprécie pas que tu me dictes ma conduite ». Je suis assise devant cette magnifique glace qui date de je ne sais trop quelles années, la période victorienne, je suppose. Ma mère se tient là, derrière moi, à me lancer un regard agacé par la biais de mon reflet. Il semble que je sois rivale à ses yeux, me montrant à ce point précieuse aux yeux de mon père que c'est moi qu'il amène à ce bal au Ministère. Je crois que ma mère a beaucoup de difficultés à assimiler le fait qu'un pareil instant père/fille ne se compare pas à celui qu'il peut vivre auprès d'une femme à qui le temps a volé beauté et grâce et à qui il ne reste que les souvenirs de sa lointaine gloire pour la rassurer « Il reporte sur moi l'affection que Milena n'aura jamais su lui donner ». Ma grande soeur, perdue dans les tréfonds de l'humanité, une cracmol qui s'est elle-même dégagée de la pression de la famille Derwent. Il semblerait qu'elle soit plus honteuse envers sa propre incapacité à démontrer une aptitude dans le monde magique que nos parents peuvent l'être d'avoir engendré un si piètre modèle de descendance « Reste polie, Ophélia. Si ce n'était pas elle que le sort avait frappé, cela aurait pu être toi ». Je souris, passe la brosse dans ma chevelure soyeuse. Cela me dépasse de devoir utiliser encore et encore cet argument - à quelque part, j'imagine que cela aurait pu être bien d'avoir une soeur - pour la pousser dans ses retranchements, mais franchement, elle m'agace. Accuser une jalousie dévorante comme celle qu'elle me fait ressentir chaque fois que mon père pose les yeux sur moi, c'est une honte pour toute personne aspirant au titre de maman...
« Ophélia, mon coeur, tu es ravissante ». On se retourne en simultanée, et tandis que les traits de ma mère se décompose, je me lève d'un trait pour aller me jeter dans les bras de mon père. Avoir seize ans ne me gêne en rien, et cet homme est sans doute ce que je possède de plus précieux. Sa façon de me regarder, de me traiter en adulte depuis la fin de mon enfance, de me gratifier de sa fierté, de ses compliments et d'une attention toute particulière valent tous les Gallions du monde. Je lisse le pan dans ma robe, sentant le tissu satiné d'un pourpre profond sous mes doigts. Tout sourire, je glisse mon bras sous celui de Amadeus Derwent « Ma chère, vous avez fait un superbe travail à dénicher cette robe, votre fille vous ressemble à cette époque où l'on s'est rencontré, à Poudlard, vous vous rappelez? ». Son visage s'éclaire, mais se fige en se rendant compte que la question de mon père est rhétorique. Il s'adresse à elle avec une politesse froide, une courtoisie d'une neutralité affolante. J'espère vivre d'une passion plus intense, moi, avec un homme pourtant similaire en tout point à mon père « Mère a déniché cette merveille dans une boutique qui n'inspirait rien à première vue, elle est-. Il ne me laisse pas le temps de finir qu'il m'attire hors de la chambre, tournant le dos à son épouse, m'entraînant vers les escaliers pour aller prendre la poudre de Cheminette dans le somptueux boudoir qu'il s'est fait construire « Excellent, excellent. Tu te rappelles, princesse, qu'il faut épater monsieur Creswell ce soir? ». Il serre ma main, m'explique pour une quatrième fois que son ascension au Ministère dépend de ma capacité à charmer le fils de ce directeur d'un département, ne serait-ce que pour la soirée, pour lui donner le champ libre afin d'argumenter « Mon père, ce Velkan Creswell n'a aucune chance » que je lui souffle avec une confiance infinie. Je n'ai que le temps d'apercevoir son sourire rempli de fierté se tourner vers moi que l'on quitte notre demeure, mais je m'en souviendrai toujours. Mon père est fier de moi, et c'est tout ce que je demande pour toujours.
« J'y crois toujours pas » qu'elle lance en frôlant du bout des doigts l'insigne de Préfet accrochée à ma robe de sorcier. Ça me fait sourire, effectivement, y'a pas plus ironique que de voir un Derwent porter cette distinction honorifique pour bonne conduite. Encore heureusement, la professeure d’Arithmancie était du comité, sinon je pouvais courir pour recevoir la palme du bon comportement. Bon, d'accord, je suis une parfaite petite emmerdeuse avec un nombre restreint de gens, mais quand c'est le cas, je ne fais rien à moitié « Je suis exactement ce dont Poudlard a besoin ». Elle éclate de rire, et je lui jette un regard noir. Évidemment, on attire l'attention en pleine bibliothèque, mais c'est pas comme si elle ou moi avions quelque chose à branler de ne pas respecter les règlements bidons de l'endroit concernant le silence « Une garce en collant? ». Malgré mes efforts pour garder mon sérieux, j'échappe un sourire, portant ma plume à mes lèvres, un regard malicieux à l'appui « La plus chaude de toutes les garces de cette école, rien de moins ». Elle ricane doucement, continue à griffonner le parchemin de Potions pendant quelques secondes avant de se pencher vers l'avant, me dévisageant franchement « Qu'est-ce que tu trouves de palpitant à jouer la lèche-botte des profs? ». Je reste muette pendant quelques secondes, m'imaginant très bien m'acharner sur le sort de chaque Rouge et Or de cette école rien que pour faire payer à ce connard de Hemingway de m'avoir plaquer « Des avantages, chérie, l y en a plusieurs ». Je trempe ma plume dans l'encre bleu saphir que mon père vient de m'envoyer par hibou, rédige quelques phrases sans me soucier du regard insistant et impatient de ma délicieuse compagne de travail. Je savoure le fait qu'elle ignore, pour une fois, le bien fondé de ma démarche. En clair, ni Wood ni moi ne faisons jamais rien sans en tirer un quelconque bénéfice. Jugeant l'avoir suffisamment torturée, je relève la tête, amusée, puis referme mes bouquins, mes parchemins, rangeant mon encre et ma plume « Allez viens, je t'en montre un ». L'attrapant par la main, la forçant à abandonner derrière elle la moitié de ses affaires, je l'entraîne jusqu'à la salle de bain réservée aux Préfets.
La pièce est spacieuse, les bains dégageant un fumet d'huiles essentielles odorantes, quoique délicates. Il semblerait que la pièce savait exactement user de quel stratagème pour nous mettre à l'aise, invitant à la détente et rendant plus qu'impératif le besoin de se jeter dans les eaux chaudes de son bassin principal, nappé d'une dose de mousse dans laquelle on meurt d'envie de foutre les doigts. Détournant les yeux vers une Avalon - sans voix, c'est bien une première - je dépose mon sac à proximité et passe la main dans ma chevelure, la libérant de cette queue de cheval sérieuse que j'adopte lors de mes brefs et concis passages à la bibliothèque « Wood, il n'y a pas un endroit plus torride qu'ici dans toute l'école ». Excitée comme une puce de pouvoir partager cet endroit avec une Avalon qui me glisse des doigts ces derniers temps - ce qui m'agace au plus haut point, il faut l'avouer - je n'attends pas plus longtemps pour tirer ma baguette, lancer un sortilège pour verrouiller derrière nous et pour retirer ma robe de sorcier, puis mon haut. S'en suit les jeans, pour me retrouver en sous-vêtements. M'avançant doucement, je frôle la surface de l'eau du bout des orteils et frissonne, un sourire rivé sur mes lèvres. Je me retourne, descendant les escaliers du bassin dos à l'eau, face à elle « Ne joue pas la prude, Avalon. Enfin si, tu peux, sauf avec moi ». J'immerge mon corps complètement, sentant chaque muscle de mon corps me délasser au contact de l'eau. À la blague, quand j'étais gosse, ma mère me disait que j'avais du être une sirène dans mon autre vie, j'y suis plus à l'aise que sur la terre ferme « Je t'emmerde Derwent » que je l'entends pestiférer tandis qu'elle retire elle-même ses fringues. Si je suis consciencieusement exhibitionniste et définitivement plus vierge, il n'en va pas de soi pour toutes les personnes dans cette pièce. Je m'amuse à ses dépends, la taquinant en l'appelant par ce nom qu'elle déteste tant, Wood, et en lui rappelant que je suis vraisemblablement la personne qui en connait le plus sur son compte, autant dans sa tête que physiquement. Rien à y redire de toute part, Avalon n'a pas son équivalent ici, à Poudlard « Moi, Avalon, je t'adore. Je t'adore tellement que je vais te faire une fleur et ne surtout pas cafter à Orion que je t'ai à nouveau vue presque nue ». Elle se raidit, malgré le contact doux de l'eau sur le galbe de ses jambes. Elle me renvoie du tact au tact « De même, je ne vais surtout pas te signifier que tu t'es fait plaquée en beauté l'an dernier, Philly ». Mon coeur fait un bond, puis perd le rythme pendant quelques secondes. J'imagine que je l'avais mérité. On reste comme ça, à se dévisager, jusqu'à ce que je lui envoie une vague d'eau en pleine tronche, et qu'elle réponde à cet affront. Ça aurait très certainement pu devenir violent, comme échange, mais je n'en ai pas l'envie. Je change donc de tactique et on finit complètement trempée, épuisée, étendue sur le dallage frais de la pièce tandis que je referme mes doigts autour des siens, dans le silence absolu, tandis que l'on observe les vitraux somptueux s'agiter avec cette magie unique qu'est celle qui anime tout Poudlard...
« Emrys... Emrys, arrête, par Merlin, arrête tout de suite » que je murmure, à mi-voix, une tonalité qui se veut sérieuse sans l'être une seule seconde. Je me tortille, enroulant mon corps dans un fin drap de satin qui nappe ce lit à baldaquin dans lequel je subis les contrecoups d'un homme cruel qui me cause un supplice sans fin en laissant balader ses doigts sur ma chair, créant un frisson dans mon échine et une multitude de petits cris étouffés. Je ne suis pas en position de combattre mon agresseur que j'attrape son visage entre mes deux mains et écrase ma bouche contre la sienne. Je profite de l'occasion pour approfondir le baiser, enserrant sa nuque de mes bras pour le ramener contre moi. À la demeure familiale des Dumbledore, ma place serait plutôt sous l'édredon d'une pièce à trois ou quatre portes d'ici, dans les bras de l'aîné, Nikola. Je lui suis promise, et lui à moi, mais c'est de son frère que je me languis chaque minute, chaque seconde. Son frère qui aurait fréquenté mes classes, à Poudlard. Enfin ça, c'est s'il n'avait pas eu ce petit problème concernant sa magie inopérante. Contrairement à ses parents, à son frère, à ma famille et moi-même, il est incapable de jeter le moindre sortilège. Cela ne me dérange en rien, me plait même, cela change de ce sujet parfois ennuyeux que peut devenir la magie quand il est question d'ambition, de pouvoir et de capacités. Mon père cherche à se faire un nom en Angleterre, et le sien à se faire connaître à l'étranger. Aussi clairvoyants peuvent-ils être, ils n'ont pas choisis le bon fils pour me rendre heureuse, encore fallait-il que mon père se soucis de moi, non comme une garantie, mais comme une personne « Emrys... » que je parviens à souffler contre ses lèvres, mon corps frissonnant à son contact tandis que mes doigts se crispent dans sa chevelure. Un craquement nous fait sursauter, et je remarque le regard que nous lance son hibou, comme pour nous rappeler que ce qui nous anime, nous consume, est terriblement mauvais pour les affaires, et que c'est d'un inconvenance notoire. Je suis habituellement celle qu'il faut tempérer, mais en cette aube à peine sonnée, c'est lui qui ne parvient pas à entendre raison « Le retour de Nikola est prévu pour aujourd'hui ». Cela semble l'atteindre suffisamment pour le faire légèrement reculer, tactique que je regrette aussitôt que la fraîcheur mordante de la pièce se substitut à la chaleur de son corps « Es-tu la même avec lui qu'avec moi, Sibel? ». Je mords la lèvre inférieure, le coeur en miettes de ressentir son regard brisé, douloureux, alors qu'il connait la réponse à cette question. Il sait que je suis trop affligée de culpabilité pour ne pas me fendre en quatre pour rendre son aîné aussi comblé qu'un homme peut l'être. Pourtant, le coeur n'y est pas. Mon coeur est ailleurs, mon coeur n'est plus mien depuis mon premier passage dans le domaine des Dumbledore, dans ces premières tentatives de forcer la main du Destin et de faire naître une idylle entre Nikola et moi. Ce n'est pourtant pas lui qui m'a fait perdre l'esprit. Ce n'est pas à lui que je confierais ma vie, mon corps, mon coeur et mon âme. Mon coeur appartient à celui avec qui j'échange un regard à l'instant même, et ce, jusqu'à mon dernier souffle. Aucun mariage, aucune attention n'y changera quoi que ce soit, jamais...
« Auriez-vous l'obligeance, mademoiselle Derwent, vous qui semblez au-dessus de ces détails que j'enseigne, nous signifier les ingrédients de la potion d'Amortentia? ». Je me réveille en sursaut alors qu'on s'adresse à moi, d'autant plus paniquée par le bruit du livre que le professeur vient de refermer d'un sort pour me sortir de mon sommeil. Abrutie par ce rêve récurrent dans lequel je suis l'actrice principale, trop souvent meurtrie et passionnée, je me trouve être incapable de prononcer un seul mot « Excellent, excellent. Veuillez quitter la pièce et revenir quand vous dormirez suffisamment la nuit, mademoiselle. 5 points seront retirés à Serdaigle pour cette impertinence dans ma classe ». Traitant de harpie, de goule, de tous les noms possibles et imaginables cet idiot dans les couloirs des Donjons, je me retrouve à foncer tête première dans un objet mouvant « Abruti ». En relevant les yeux, je me retrouve à croiser le regard d'Orion. Un Orion avec un sourire beaucoup trop large, les pieds trop solidement rivés sur le dallage froid et humide de l'endroit pour que ce soit une coïncidence. Croisant mes bras sur ma poitrine, je lui tire la langue avant de chercher à lui foutre un coup « J'aurais du prévoir que tu serais dans le coin pour pourrir mon oxygène, Blackburn ». Il éclate de rire, et comme je veux le contourner pour aller pestiférer en paix dans le Parc, je me retrouve au prise avec des mains solidement posées sur mes épaules « C'est un plaisir pour moi aussi, Derwent ». Il sourit, puis continue « Une Préfète virée de son cours? Ça risque de plaire à tes bienfaiteurs, ça ». Je me défais de son emprise, lui fourrant ma baguette magique juste sous le menton, ma paume libre sur son torse, le forçant à reculer « J'ai eu une matinée de merde, Orion, et tes conneries ne m'amusent pas du tout. Commence par disparaître de ma vue et me laisser aller maudire cette sale tête de gobelin avec une bouteille de Whisky Pur Feu, serpent ». J'abaisse ma baguette, le contourne en prenant le chemin qui mène hors de ce caveau puant que j'entends une voix « Deviens-tu plus agréable avec de l'alcool dans le sang, Ophélia, ou t'es toujours aussi vache? ». Plus amusée qu'insultée, je mords ma lèvre, puis réplique avec un sous-entendu des plus évidents « Je perds certaines inhibitions, mais pas ma répartie, Blackburn. Tu ne supporterais tout simplement pas ». Je me retourne, avance de quelques pas qu'il me rejoint, le regard brillant, amusé « Tu paris? ».
marie-chantale & emmecie
ϟ AGE : vingt et un ans ϟ QUEL HIBOU T'A AMENÉ ICI ? : bazzart ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : j'adore ϟ AVATAR : phoebe tonkin ϟ DOUBLE COMPTE : nope ϟ CODE DU RÈGLEMENT : edit par cordy ϟ UN PETIT MOT POUR LA FIN ? : qu'est-ce que j'ai hâte de jouer
Snow-Lynn T. Hurtlake
J'ai reçu ma lettre le : 30/01/2012 Parchemins : 437
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 16:31
EXCELLENT CHOIX DE SCENARIO, de plus phoebe tonkin est une déesse bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche. tu me dis si mon post te gêne.
Avalon Wood-Blackburn
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 117
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: Aucun évènement déclencheur n'a encore eu lieu, mais j'ai quand même peur que cela existe réellement ; j'ai malheureusement eu l'occasion de voir les dégâts que ça peut provoquer. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 16:36
Snow-Lynn T. Hurtlake a écrit:
EXCELLENT CHOIX DE SCENARIO, de plus phoebe tonkin est une déesse bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche. tu me dis si mon post te gêne.
Je plussoie. BIENVENUE en tous cas ! Hâte de voir ce que va donner Ophélia. Et si tu as la moindre question, n'hésite pas (enfin envoie plus un MP à Lase, c'est lui qu'a imaginé le scéna, moi j'en ai juste profité, héhé).
Ophélia L. Derwent
J'ai reçu ma lettre le : 21/04/2012 Parchemins : 75
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: c'est possible, oui. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 16:42
LAWRENCE ET DOBREEEEEEEEEEV Merci beaucoup, et puis non, le post ne gêne pas. Je vais faire ça comme une grande dans un seul et même post .
Puis j'espère que ça va lui convenir, j'admire beaucoup les personnages brisés et je trouve que ça lui sied parfaitement à Tonkin, j'suis donc d'emblée vendu à ce type de lien. Bien hâte de jouer cette relation qui les unit, Avalon & Philly, ça va rocker !
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 16:47
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuue ici Merci pour ton inscription ( surtout pour avoir pris un scénario ) et si tu as besoin de quoi que ce soit nous sommes ici pour toi ! N'hésite pas à parler du forum autour de toi : plus nombreux on est mieux c'est
Par contre pour le patronus ça sera juste "renard" parce que comme les patronus sont tous argentés, on ne peut pas se permettre ce genre de choses ( a part par exemple le panda roux qui ne ressemble pas du tout au panda mais alors pas du tout )
Ophélia L. Derwent
J'ai reçu ma lettre le : 21/04/2012 Parchemins : 75
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: c'est possible, oui. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 16:48
HAHAHAH PUTAIN J'Y AVAIS MÊME PAS PENSÉ Je change ça d'emblée, mon dieu, elle est bonne celle-là!
Puis merci Cordélia - FREYAAAAAAAAAAAA - je vais parcourir le cyberespace en décriant ce magnifique forum, promis.
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 16:50
Tu es pas la première t'en fais pas Et puis faut dire que ma bible c'est l'encyclopédie HP - je l'ai en favoris et en livre - donc je suis au taquet sur tout Je t'aime bien toi
Mais tout le monde aime Freya ici, moi qui avais peur qu'elle soit pas assez pop' je me sens mieux oooooooooh c'est trop gentil
Avalon Wood-Blackburn
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 117
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Durmstrang crois-tu en la vie antérieure ?: Aucun évènement déclencheur n'a encore eu lieu, mais j'ai quand même peur que cela existe réellement ; j'ai malheureusement eu l'occasion de voir les dégâts que ça peut provoquer. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 17:04
Ophélia L. Derwent a écrit:
Puis j'espère que ça va lui convenir, j'admire beaucoup les personnages brisés et je trouve que ça lui sied parfaitement à Tonkin, j'suis donc d'emblée vendu à ce type de lien. Bien hâte de jouer cette relation qui les unit, Avalon & Philly, ça va rocker !
Bon après c'est peut être The Secret Circle qui me fait dire ça, mais c'est clair que Tonkin c'est trop la garce, mais qui l'est entre autres à cause de profondes blessures quoi. (d'ailleurs ce genre de persos sont toujours mes préférés)
On va envoyer du pâté ouais !
Cordélia Dawkins-Buckley a écrit:
Par contre pour le patronus ça sera juste "renard" parce que comme les patronus sont tous argentés, on ne peut pas se permettre ce genre de choses
Hahaha, moi non plus j'y aurais jamais pensé. (x Trop une bête Cordy !
Ophélia L. Derwent
J'ai reçu ma lettre le : 21/04/2012 Parchemins : 75
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: c'est possible, oui. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 17:08
J'ai jamais écouté The Secret Circle, donc toute ressemblance est une coïncidence. J'vais rendre ma Philly unique, pas le choix, pour avoir des séances de bouche à bouche avec Dobrev, on va dire que ça en vaut la peine hahaha.
Cordélia, j'suis une fan finie de HP, mais j'avoue que je l'ai échappé là-dessus. Mes hommages, grand manitou!
Cataleya P. Rhodes-Wheler
J'ai reçu ma lettre le : 26/01/2012 Parchemins : 86
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 17:37
Ton avatar il rocks tout Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
Laserian K. Hemingway
J'ai reçu ma lettre le : 18/04/2012 Parchemins : 71
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Pas du tout, et ce malgré les flashs fréquents. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 18:44
FUCK YEAH ! Hâte de voir ce que va donner Ophélia moi aussi. :) (d'ailleurs j'aime beaucoup le caractère et le début d'histoire) Et comme l'a dit Ava, n'hésite surtout pas si tu as des questions (ou autres...).
Darcee Y. Dubois
J'ai reçu ma lettre le : 11/04/2012 Parchemins : 35
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Beauxbâtons crois-tu en la vie antérieure ?: Seulement la partie concernant la guerre, rien avant, ni après amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Sam 21 Avr - 20:31
Bienvenue
Ophélia L. Derwent
J'ai reçu ma lettre le : 21/04/2012 Parchemins : 75
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: c'est possible, oui. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Lun 23 Avr - 3:32
LASERIAN Contente de l'entendre, et j'espère avoir assurée dans tes propres visions de Lùllaby
Merci Darcee
Fiche terminée, j'espère que ça ira !
Laserian K. Hemingway
J'ai reçu ma lettre le : 18/04/2012 Parchemins : 71
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Pas du tout, et ce malgré les flashs fréquents. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Lun 23 Avr - 14:00
Comment j'ai aimé lire ta fiche ! T'as complètement saisi les personnages, c'est juste parfait quoi. You're the best (right after me of course hehe ). *out*
Cordélia Dawkins-Buckley
J'ai reçu ma lettre le : 07/01/2012 Parchemins : 881
L'Histoire de ma Magie. mon camp il y a 200 ans: Poudlard crois-tu en la vie antérieure ?: Oui, je me souviens de tout. amis/amours/emmerdes:
Sujet: Re: PHILLY ► you give love a bad name Lun 23 Avr - 14:06
C'était une bonne fiche pour un personnage intéressant
Je te valide donc :
Ҩ Cher/Chère Invité,
Nous avons le plaisir de vous informer que votre inscription au collège Poudlard est validée. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité. Tu peux dès à présent faire tes demandes dans les différentes partie du forum
Veuillez croire, cher(re) Invité , en l'expression de nos sentiments distingués.